C’est une nouvelle guerre de Sécession qui frappe les États-Unis dépeints par Alex Garland dans son tout dernier film, Civil War. Cette production A24 très attendue a battu tous les records du studio indé américain. L’arrivée d’A24 dans la cour des Grands signe-t-elle un renouveau marquant pour le cinéma de guerre ? Décryptage écrit à quatre mains pour ce film sociétal en trompe-l’œil et mise en perspective avec la liberté de la presse de plus en plus menacée dans le monde.
L'interview du siècle
Manifestation cernée par les forces de police, agitation inhabituelle, puis la déflagration annihilatrice d’une bombe attachée à un kamikaze juvénile qui réduit en charpie les corps amassés dans cette rue… Non, Civil War ne situe pas sa scène d’ouverture dans une exotique ville en guerre du Moyen-Orient, mais bel et bien au plein cœur de Brooklyn. La reporter de guerre Lee Smith (Kirsten Dunst) se trouve sur place, braquant son appareil photo vers cette Amérique en proie à une sanguinolente scission entre une coalition séditieuse formée entre la Californie et le Texas et un président tentant de maintenir ce qui reste de son pays. Sentant approcher la fin de ce politicien terré à Washington, la reporter s’accompagne d’un journaliste casse-cou (Wagner Moura), d’un vétéran de la presse écrite (Stephen McKinley Henderson) et d’une très jeune photographe (Cailee Spaeny), tous bien décidés à réaliser le plus gros coup de leur carrière : réaliser l’ultime interview de ce leader politique sur le déclin.
Ce cher Alex Garland n’en était pas à son coup d’essai, et il faut dire que l’annonce de ce projet Civil War et les premières images de bande-annonce avaient plutôt de quoi enthousiasmer le spectateur. Lui qui a été le scénariste attitré de Danny Boyle (La Plage, Sunshine, 28 jours plus tard…) et qui garde d’ailleurs le même poste pour le prochain projet du réalisateur britannique 28 ans plus tard, avait assez habilement su négocier le virage dans sa carrière qu’avait été son passage à la réalisation. Il y a dix ans, Ex Machina avait été globalement très positivement salué par la critique, et Annihilation pour Netflix avait reçu un accueil moins favorable mais contenait en son sein une véritable imagerie de SF-horrifique jamais vue ailleurs tout autant qu’une très bonne adaptation du début de la géniale trilogie du Rempart de Jeff VanderMeer.
Il revenait ensuite en 2020 pour une mini-série de huit épisodes à la croisée des chemins entre la science-fiction et le thriller, Devs, avant de revenir sur grand-écran au sein de l’écurie à la mode A24 avec le dérangeant Men. Bref, un CV sacrément solide pour celui qui promettait en creux une véritable fresque de guerre dans une Amérique post-Trump résolument fracturée… Mais que vaut donc ce Civil War, qui affole tant les foules outre-Atlantique ?
Film de guerre ?
En termes de références, Garland n’y va pas avec le dos de la cuillère. Hélicoptères troublant la quiétude d’une aube orangée, lente et meurtrière remontée en direction d’un but qui semble inatteignable, pas de doute, Apocalypse Now n’est pas bien loin dans l’esprit du réalisateur britannique. Mais là où Coppola filmait toute la crasse et l’inextricable noirceur qui engluait chaque plan de son film sur la guerre du Vietnam, Garland semble au contraire vouloir constamment magnifier le dégueulis de violence qui empêtre les bottes de son groupe de journalistes en route pour Washington. Une optique moins crue qu’espérée.
Explosion de couleurs qui siéraient mieux à un James Gunn filmant Harley Quinn qu’à un film « réaliste » sur le métier de reporter en pleine guerre civile, on retrouve partout cette envie déréalisatrice d’insuffler un air pop à son long-métrage. Ongles de soldats solitaires bariolés de couleurs, scènes d’ultra-violence baignée d’une musique pop tarantinesque, sur-stylisation d’une scène d’embrasement, Garland semble parfaitement incapable de filmer l’ultra-violence de son film sans l’esthétiser à outrance. Premier point noir pour ce Fils de l’Homme sous MDMA, où le fond peine à dialoguer avec la forme.
Garland et le symbolisme
Garland nous avait habitué à son goût du symbolisme, trouvant son paroxysme dans l’horrifique (et dernier en date) Men. Parfois subtil, parfois carrément lourdingue, ce goût des symboles se prolonge dans Civil War, et généralement pour le pire… Construction d’un bien futile (et assez insensé) jeu de miroir entre la jeune photographe et le personnage incarné par Kirsten Dunst, toute la scène d’échange de tirs entre snipers dans des décorations de Noël (voir l’analyse de la scène par Garland en personne dans la vidéo disponible ci-dessous) ou encore cette image de soldats tirant au bazooka sur le Lincoln Memorial…
Civil War va empiler ses symboles et ses images de guerre les uns sur les autres, de manière assez grossière et en expurgeant le plus souvent toute veine politique à son long-métrage… Il s’amusera également à éparpiller des effets de style tape-à-l’œil, notamment une flopée de scènes vivement marquée d’aberration chromatique, sans jamais qu’elles paraissent avoir le moindre sens au sein du long-métrage ou qu’elle n’appuient une volonté de recherche esthétique, sinon expérimentale. Et malheureusement, l’ensemble est un brin indigeste à regarder.
Le Bruit et la fureur
Dès l’annonce du projet et la diffusion des premières images, l’Amérique divisée de Civil War a su créer un schisme parmi les réactions des spectateurs… Son inscription si peu de temps après les évènements du Capitole et son arrivée sur les écrans six mois à peine avant l’électrisante élection présidentielle aux USA avait su créer un débat virulent avant même que le film ne soit visible pour le grand public. Et sitôt sa mise à disposition sur les écrans, les chiffres ont parlé d’eux-mêmes : meilleur démarrage pour A24 (devant plusieurs blockbusters) et la première fois pour le studio branché new-yorkais qui se retrouve en tête du box-office.
Un long-métrage qui s’inscrit donc dans une actualité brûlante, au sein d’un pays qui ne semble jamais avoir été autant polarisé. Le cocktail idéal pour réaliser une flamboyante bombe économique ! Civil War a su maîtriser parfaitement sa communication et s’en met désormais plein les poches, fanfaronnant dans les premières places d’un box-office décidément bien lucratif. Mais parvient-il par la même occasion à devenir une bombe politique, qui gratte où ça fait mal ? La réponse semble bien moins évidente si l’on fait fi de son succès en salle.
Le journalisme comme tombeau ?
Comment réussir à réaliser un film hommage au journalisme de guerre sans lui rendre hommage ? C’est le sentiment amer qui nous reste en travers de la gorge à l’issue d’une séance qu’on espérait moins calibrée pour la consommation de popcorns. Une occasion manquée ou un cahier des charges grand public contraignant ? Alors que le spectre de la guerre civile ne cesse de planer dans l’air de plus en plus brun de l’Amérique post prise du capitole, Alex Garland a volontairement fait fi du climat factieux et profondément complotiste gavé par la présidence Trump.
Pis encore, il ne fait qu’effleurer sinon caricaturer le métier en reprenant la grammaire débilitante des tropes hollywoodiens. Les journalistes y sont grimés en trublions cools et casse-cous, des pseudos faire-valoirs de héros de guerre anonymisés et dont on ne cherchera jamais à creuser sérieusement la psychologie, pas même les motivations primaires autres que « vivre ou mourir ». Le patriotisme importe peu, pourvu qu’on prenne les armes. Soit. Le trauma n’est affaire que d’une brève crise de nerfs temporaire avant de reprendre pieds.
Ne cherchez pas davantage une politisation d’un conflit présenté tel quel, comme si la guerre civile était un état et une fin en soi. Civil War n’a pas grand-chose à dire à ce sujet. Cachez moi ces républicains qu’on ne saurait voir, il ne faudrait pas fâcher l’audience américaine pour le premier projet A24 plus consensuel comme évoqué plus haut. C’était bien moins clivant de réunir la Californie et les Texans que pourtant tout oppose aujourd’hui, eux qui mènent une lutte acharnée contre ces supposés fanatiques « éveillés ». Graland préfère sagement s’affranchir de tout réalisme sans pour autant aller dans la dystopie pure et dure comme le faisait le très radical New Order. C’est bien parce que l’hypothèse d’une guerre civile n’est plus si farfelue que Civil War a quelque chose de navrant dans sa narration.
Le racisme latent qui règne aux USA n’y est suggéré qu’au cours d’une des rares séquences marquantes du film (néanmoins déjà vue et à l’issue tristement prévisible) où la mort semble être dictée par la roulette russe d’un insurgé peu calibré sur la réflexion. On pourrait encore poursuivre les griefs sur d’autres plans. Dans une Amérique fracturée qui ne s’est jamais séparée pleinement de son héritage colonial et esclavagiste, faire le choix du silence concernant les persécutions des personnes racisées semble là aussi déconnecté de la société étasunienne contemporaine. Un pays où la politique pénale et répressive cible en première ligne les populations noires comme l’a montré de façon funeste l’affaire George Floyd qui embrasa l’Amérique. Nul doute qu’en cas de guerre civile, le clivage américain se traduirait aussi en termes de considérations raciales, et pas seulement par le prisme d’Etats fédéraux ayant prêté allégeance aux uns ou aux autres… mais pas chez Garland ! Ici la guerre civile est affaire d’individualisme comme ultime consécration du sacrosaint deuxième amendement. Pour le contexte, on repassera.
Civil War se prive donc de toute perspective engagée. Quelle erreur alors que l’année 2023 a été particulièrement noire pour la profession sur les différents théâtres d’opération qui embrasent le globe mais aussi dans les pays dits du monde libre. La liberté de la presse a souffert de nombres d’assassinats politiques ces dernières années et pas n’importe lesquels. On pense naturellement à l’affaire Khashoggi, journaliste engagé démembré vivant dans le consulat d’Arabie Saoudite en Turquie, tout cela pour avoir écorné par ses enquêtes la réputation du prince saoudien. Symbole de l’impunité des puissants, l’affaire n’avait que très peu ému les chancelleries occidentales, soucieuses de ne pas chagriner nos échanges avec les pays du Golfe (et pour la France de poursuivre les ventes de rafales sans anicroche avec l’un de ses acheteurs les plus fidèles des pétromonarchies). Quoi qu’il advienne, le respect des droits de l’Homme est secondaire face aux considérations impérialistes et autres projets de domination régionale. Pourvu que l’opinion publique ne saisisse pas la manœuvre comme avec le Vietnam hier ou Gaza aujourd’hui.
Un film apolitique pour le public américain
Cette année 2023, de nombreuses mises à morts barbares auront fait étouffer nombre de voix de reporters et lanceurs d’alerte de la société civile mexicaine. Ces dernières dénonçaient la corruption et l’emprise des narcotrafiquants dans un pays rongé par les cartels pour abonder un marché (très) demandeur en cocaïne, à commencer par l’Europe. Comble du cynisme, l’Iran aura dépassé son propre record d’exécutions d’opposants politiques sur toile de fond de répression féroce du mouvement Femme Vie Liberté.
Au Moyen-Orient, depuis les représailles vengeresses d’Israël à la suite du massacre du 7 octobre, plus de cent journalistes palestiniens ont déjà été éliminés lors des bombardements orchestrés par commodité postmoderne par des IA quand ils n’étaient pas directement ordonnés par le cabinet de guerre de Tsahal. De simples victimes collatérales d’un algorithme chafouin bien entendu. Enfin, symbole et non des moindres d’une liberté en berne, Julian Assange croupit toujours dans les cellules de la prison de haute sécurité de Belmarsh, en attente de son ultime procès, tandis qu’Edouard Snowden, exilé en Russie, lui dispute le titre d’ennemi public numéro un de « la plus grande démocratie du monde ».
Là aussi dans l’indifférence générale de l’opinion publique à la cécité biberonnée par des médias poubelles où l’on nous invite à « aller essayer la dictature en Russie » quand il ne s’agit pas de condamner benoitement les violences. Ou comment se priver de toute analyse pour un autre possible ? Alors comment expliquer un discours aussi pauvre de la part d’Alex Garland sur une profession à l’exercice de plus en plus périlleux aux USA et partout dans le monde, où cette liberté mère de toutes les autres régresse dangereusement ?
Le réalisateur semble n’utiliser le journalisme que comme prétexte à un film d’action plutôt efficace mais peu crédible, qu’il s’agisse des fusillades sauce Call Of Duty ou des scènes de médecine de guerre hors sol. Ces personnages se présentent eux-mêmes comme des observateurs pour que d’autres témoignent ensuite. Pas même une dénonciation des crimes de guerre auxquels ils assistent. Le journalisme serait donc un exercice figé, privé de l’humanisation des uns et des autres. Rien, même lorsqu’il s’agit de se rendre complice ou témoin des horreurs de la guerre. C’est oublié que les photographes de guerre sont bien souvent correspondants des rédactions pour lesquelles ils écrivent.
Ici, ils sont simplement représentés comme des têtes brûlées sans aucun regard (ou si peu) sur les évènements auxquels ils assistent, comme si la photographie de guerre se privait d’angle et que leur sort de citoyen américain leur était – par ailleurs – complètement indifférent. La photographie est instantanée comme un appareil jetable. C’est qu’on sympathise même avec les criminels après l’assaut. Un positionnement bien commode qui prend des airs de farce quand on assiste, sidéré, à l’entrée dans le capitole de notre équipe de journalistes décidément suicidaire et plus va-t’en guerre encore que les forces spéciales restées, elles, en retrait. Le stéréotype de la jeunesse « chien fou » sera décliné jusqu’à l’épuisement.
War games
En première ligne, à flirter avec les rafales nourries des fusils d’assaut des sécessionnistes pour un shot d’adrénaline, nos héros prennent des airs de GI Joe ragaillardis aux amphétamines et camés aux images. Il manquerait presque le selfie TikTok pour achever le portrait. On s’amuse intérieurement d’une telle vision proprette alors que les lignes de front ukrainiennes ne laissent rien filtrer après deux ans de conflit. Idem pour la bande de Gaza où la population et les défenseurs des libertés publiques sont laissés pour compte et déconsidérés par leurs homologues occidentaux, privés d’entrée sur la zone la plus militarisée du moment.
Et pourtant cela ne les empêche pas d’être au diapason de la propagande israélienne, confortablement installés sur les plateaux TV de Bolloré voire du service public. Et ne parlons même pas du Yémen, point d’orgue de l’invisibilisation des crimes de guerre. Les journalistes étrangers y sont persona non grata, bloqués aux frontières, quand ils ne sont tout simplement pas exécutés. N’y avait-il pas matière à trouver un équilibre plus juste vis-à-vis de la profession ? Le film aurait été nettement moins générique et aurait par la même gagné en intensité. En outre, si la profession nécessite un courage certain, celui-ci n’est pas pour autant dicté par l’aventurisme et la soif de mort. A contrecourant, Civil War nous présente un champ de ruines où le rêve américain de l’interview impossible pourrait encore éclore des ruines encore chaudes du pays, même au cœur du chaos illustré par la hantise d’une nouvelle guerre de Sécession.
Alex Garland se contente du strict minimum en reprenant à la lettre l’expression « to shoot » en anglais qui signifie autant « tirer avec une arme à feu » que « prendre une photo ». Les journalistes dégainent l’appareil comme les soldats lèvent leurs armes contre leurs adversaires. Admettons que c’est un peu léger quand on dresse le bilan de santé de la liberté de la presse dans le monde et on pourrait poursuivre l’énumération ad eternam. En choisissant de mettre sur le même plan journalistes et soldats, Alex Garland fait d’eux de simples spectateurs sans ligne éditoriale ni boussole. L’ensemble est donc au final très superficiel. Pensée émue pour Bernard Henri Lévy sur son tank israélien, hier lors de l’opération « Plomb durci », aujourd’hui pour abonder l’opération militaire « Glaive de fer ». Quand il n’est pas en costard dans une tranchée en Syrie ou à prendre des selfies en Ukraine, cet influent philosophe déblatère sur les plateaux TV sur les vertus de « l’armée la plus morale du monde » afin de façonner l’opinion publique. Quel dommage de s’être privé de portée critique avec Civil War !
Le film multiplie les clichés et l’on ne trouvera aucune remise en question. La mort est un jeu, la guerre, un plateau sans règles. Dès qu’il s’agit d’entrer dans le vif du sujet de la perte d’un collègue, Alex Garland renoue avec la facilité. On étouffe les sons et les voix pour laisser la musique parler d’elle-même. Être journaliste, c’est être un punk. Basta ! On noie le chagrin dans l’ivresse et c’est reparti pour un tour. Pourvu que la réflexion soit tuée dans l’œuf pour quelques images de mitraille.
De simples témoins, voilà le seul et unique enseignement bien pauvre du film pour une profession autrement plus engagée, au péril des idées reçues, parfois contre la propagande des belligérants et au péril de leur vie. Dans un autre registre, on lui préférera largement l’excellent The Sweet East qui singeait bien mieux une Amérique privée de repères et qui n’a jamais su se libérer du traumatisme du 11 septembre ni du triste gag du capitole, sinistre écho du fantasme de la guerre civile. Civil War, lui, n’est même pas nihiliste, il n’offre juste aucun point de vue sincère pour un grand spectacle privé d’âme. Ce n’est pas davantage un film d’anticipation, puisqu’il est même ironiquement en retard sur son temps. N’aurait-il pas fallu choisir un objectif plus large pour un sujet qui méritait qu’on s’y attarde ?
Échec et mat ?
Garland, un réalisateur à suivre malgré tout ? La question reste en suspens. Si Civil War marque jusqu’ici son point le plus bas de toute sa (courte) filmographie, le réalisateur britannique maîtrise tout de même les effets de mise en scène avec un goût pour l’horreur plastique. Reste que Garland ne semble pas prêt à se jeter immédiatement dans un nouveau projet comme le prouve cet article d’Ecran Large reprenant ses déclarations à The Guardian ou ScreenDaily.
En attendant ses prochaines productions, ce sera donc le Alex Garland scénariste que l’on pourra retrouver au cinéma, avec notamment le projet déjà évoqué 28 ans plus tard mais aussi la co-réalisation de Warfare avec Ray Mendoza pour lequel aucune date de sortie n’est encore annoncée. Affaire à suivre…
Bande annonce de Civil War
Buvant les Stephen King comme la sirupeuse abricotine de mon pays natal, j’ai d’abord découvert le cinéma via ses (souvent mauvaises) adaptations. Épris de Mrs. Wilkes autant que d’un syndrome de Stockholm persistant, je m’ouvre peu à peu aux films de vidéoclub et aux poisseuses séries B. Aujourd’hui, j’erre entre mes cinémas préférés, les festivals de films et les bordures de lacs helvétiques bien moins calmes qu’ils en ont l’air.
Critique JV et ciné toujours prêt à mener des interviews lors de festivals ! Amateur de films de genre et de tout ce qui tend vers l'Etrange. N'hésitez pas à me contacter en consultant mon profil.
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