MaG c’est un peu la rencontre du jeu vidéo et du cinéma, le vilain petit canard qui rejoindrait enfin le septième art. Longtemps laissé pour parent pauvre des productions artistiques, le jeu vidéo aujourd’hui hissé au rang de première industrie culturelle, n’est pas tombé loin de la bobine. Quand ils ne sont pas en train de se singer l’un l’autre, cinéma et jeu vidéo entretiennent une relation originale, sinon complémentaire.

C’est selon cette alchimie autrefois défendue qu’une petite équipe de passionnés cherche à faire feu de tout bois contre les stéréotypes, cultivant un amour sans faille des deux Arts, du nanar au blockbuster en passant par la case indé. Notre valeureuse compagnie se décline selon deux sections : Movie and Game (MaG), avec pour mot d’ordre la liberté de ton de chacun de ses contributeurs. Au menu : tests techniques des éditions physiques (Blu-ray et 4K Ultra HD) et des plateformes de SVOD passées au crible fin par nos diamantaires de l’image et du son, critiques cinéma et jeu vidéo, podcasts, interviews et couvertures de festivals dispos sur notre chaîne Youtube. N’hésitez pas à nous contacter pour nous rejoindre ou échanger avec nous !

Logo

LES PERES FONDATEURS

Arthur Cossin (KillerSe7ven) - Rédacteur JV et ciné : festivalier ambulant

KillerSe7ven ou K7 pour les intimes, mes premiers émois vidéoludiques ont commencé à l’âge de 7 ans. Baigné dans l’hémoglobine de la saga Resident Evil et Dino Crisis, je n’ai jamais cessé de jouer. Fervent joueur Nintendo mais pas bigot pour un sou, j’ai aussi écumé les mers sur Playstation comme Xbox avant d’échouer sur PC. Heureux possesseur d’une RTX 4070, je peux désormais apprécier le TressFX de Lara dans toute sa splendeur.

Il est bien loin le temps de la Game Boy Color où l’on s’éclairait sous l’halogène pour jouer à Zelda et Pokémon. Je cultive désormais un amour non dissimulé pour les jeux indés (Inside, The Swapper), les jeux d’arcade à l’école japonaise (Furi, les jeux Treasure type Bangai-O), la plateforme exigeante 2D comme 3D ainsi que les fast-FPS acidulés comme les derniers Doom. Le jeu qui m’a le plus retourné les nuits d’été : Alien Isolation. Ma claque narrative : la saga The Last of Us.

La tronçonneuse et le double shotgun sont mes alliés ingame. J’aime jouer vite et bien (ndlr : me faire revive par les copains sur Warzone et Hunt). Et pourquoi KillerSe7ven dans tout ça alors ? Certains murmurent qu’il s’agit d’un hommage affirmé au jeu de Suda51, où l’on contrôle un tueur à gages schizophrène aux 7 personnalités. D’autres prétendent qu’il s’agit du film Seven de Fincher sur un psychopathe œuvrant sur le thème des 7 péchés capitaux. Les 7 couleurs de l’arc-en-ciel, les 7 cieux de l’Islam ou les 7 voix de Manuel Valls à Barcelone ? Dieu seul le sait !

  • PC : Intel I7 8700 + RTX 4070 + RAM 32 GO
  • Diffuseurs vidéo :
    • Moniteur Alienware AW3418DW 34 Quad HD LCD Incurvé (4k / 120Hz / 4ms)
    • Vidéoprojecteur BenQ W2700 (UHD / 60 Hz / HDR10)
  • Source : PC, Switch OLED, PS4
  • Amplification : Yamaha HTR-4071
  • Enceintes : Triangle Elara LNO1, Elara LNO2, Elara LN05 (Config. HP : 5.1)
  • Casque Astro A50

Benoist Noel (BennJ) - Rédacteur JV et monteur vidéo

Tout a commencé à 10 ans avec l’achat d’une NES et sa cartouche contenant Duck Hunt / Super Mario Bros. Quel bonheur de voir ce petit bonhomme et sa salopette rouge exploser les briques et sauter joyeusement le sourire aux lèvres pour piétiner les Goombas. Quel fendard ce Mario, il savait s’amuser à l’époque !

Quelques années plus tard mes goûts ont bien sûr évolué, mon Mario a maintenant un M16 et s’éclate en pilotant un char d’assaut dans Battlefield. Comment ça, le Bowser d’en face m’a mis une balle entre les deux yeux ? C’est forcément un « cheater » ! Et non Arthur… je ne viendrai pas dans ton hélicoptère pour balancer du C4 sur les mecs d’en face.

En dehors du monde vidéoludique, je suis aussi un amateur de mangas et animes avec notamment une madeleine de Proust se nommant Dragon Ball. J’ai beau lire ou regarder d’autres œuvres, j’en reviens toujours à celle-ci. Et comment pourrais-je ne pas citer South Park qui m’a fait découvrir ce personnage tout en douceur qu’est Eric Cartman ? Lui qui est si ouvert d’esprit, toujours là pour son prochain, et a constamment le petit mot qui va pour rassurer ses amis ! Je suis F-A-N. Sur ce, je vous emmerde et je rentre à ma maison. ^_^ DES BISOUS !

  • PC : Intel i9-10850K + EVGA GeForce RTX 3080 FTW3 ULTRA + Corsair Vengeance LPX 8 Go (x4) + MSI Z590-A PRO + SSD NVME 1To (Jeux) + 512Go (OS W10)
  • Diffuseurs vidéo :
    • Moniteur Alienware AW3418DW (UHD / 120 Hz / 4 ms)
    • Téléviseur LG OLED65B9 (UHD / 120 Hz / HDR10 / Dolby Vision)
  • Sources : PC, PlayStation 5
  • Amplification : Yamaha RX-V1800
  • Enceintes : JMlab Cobalt 820, Cobalt CC20, Cobalt SR20, Sunfire HRS-12 (Config. HP : 5.1)

Brice Bouteau (le loup celeste) - Rédacteur UBD, BD et SVOD

Le saviez-tu ? Loup contrarié car né poisson, la TV m’a enlevé à mes parents dès la maternité. Ne pouvant me décider entre films de cow-boys ou de sabre chinois, quoique les spécialistes du wu xia pian affirment que c’est le western de la Chine, j’ai été contraint, mais pas vraiment forcé, à devenir bon public et à tout me farcir.

Sauvage par nature, je ne vais que peu au cinéma. Du coup, c’est lui qui s’est invité dans ma tanière. Évoluant au gré des avancées technologiques, de la VHS au 4K Ultra HD en passant par le LaserDisc, mes nuits consistent à dégainer des disques pour mieux les enfourner dans la platine.

Nyctalope comme Riddick et pourvu d’une très bonne ouïe, je suis prêt à bondir sur les éditions physiques et les plateformes de SVOD. Coup de croc distingué les gens !

Glossaire de mes tests Ultra HD Blu-ray

  • Diffuseur vidéo
    • Téléviseur QD-OLED : Sony Bravia XR-65A95L (Ultra HD Premium / 120 Hz / HLG / HDR10 / Dolby Vision / IMAX Enhanced / Netflix Calibrated Mode / Bravia Core Calibrated Mode / Cognitive Processor XR)
  • Sources
    • Lecteur Ultra HD Blu-ray : Oppo UDP-203 Audiocom Reference (Multi-régions / HDR10 / HDR10+ / Dolby Vision / 3D)
    • Lecteur Multimédia : Zappiti Reference (HDR10 / HDR10+ / Dolby Vision / 3D / ISF)
  • Enceintes
    • Barre de son : Sennheiser Ambeo Soundbar (13 haut-parleurs / 5.1.4 canaux / Dolby Atmos / DTS:X / 360 Reality Audio / 250 watts RMS)
    • Caisson de grave : SVS SB-4000 (Clos / 1200 watts RMS)
  • Raccordements
    • Câbles HDMI 2.1 : Belkin 48 Gbit/s (Lecteur Ultra HD Blu-ray → Téléviseur OLED / Lecteur multimédia → Téléviseur OLED / Barre de son → Téléviseur OLED)
  • Alimentation
    • Conditionneur de courant : Powergrip YG-1 V2 (11 prises Schuko / 3520 Watts / 16 ampères)
    • Barrette secteur : JenTech (fabriqué par Supra) bloc 6 multiprises
    • Câbles de tension : Supra LoRad 1.5mm² (lecteur UHD), Audioquest NRG-Y3 (lecteur multimédia et caisson de grave) et Ecosse The Big Orange (barre de son)
  • Commande à distance
    • Télécommande universelle : Logitech Harmony El

     


NOS VALEUREUX CONTRIBUTEURS

Axel Baron (Le Baron) - Critique ciné

A l’aube de la maturité, je trempe un premier pied dans un festival de cinéma.  Comme un poisson dans l’eau, j’ai trouvé ma place. J’ai mordu à l’hameçon du septième art et je me suis laissé emporter dans les filets de ce monde qui m’ouvre ses écoutilles remplis de coffres dorés pêchés dans les fonds marins, d’histoires de sirènes légendaires et de films aux couleurs pop.

Tombé amoureux de ce patrimoine, je parcours les abysses entre les grands classiques d’antan aujourd’hui oubliés, les réalisateurs stars perdus dans l’indifférence et les acteurs à l’éclat terni par le temps, avec une curiosité toujours plus dévorantes. Et lorsque je remonte à la surface, mon compas et mon sextant m’oriente toujours vers la salle de cinéma la plus proche ! Aujourd’hui parti de mon lac natal jusqu’aux contreforts de la mer du Nord, j’étudie les vestiges d’une époque, pour un jour, construire mon propre navire, réunir mon équipage et prendre le large. Un jour, je serai le roi des cinéastes !

Guillaume Cossin (Ummagumma) - Critique JV et joueur frénétique

Fin des années 1990 : le lecteur CD du Packard Bell familial rutile en avalant goulument la galette de Tomb Raider 2. Larguée directement aux abords de la Grande Muraille de Chine depuis un hélicoptère, Lara Croft glisse avec élégance le long d’une paroi lisse en pierre grisâtre. L’archéologue britannique s’enfonce dans une grotte mystérieuse en contrebas. Le son des pales de l’engin se fait de plus en plus distant avant de s’effacer complètement. Quelques pas maladroits en avant quand soudain des rugissements brisent le silence ! Tout juste le temps de la faire pivoter sur elle-même que la jeune exploratrice se retrouve nez-à-truffes avec deux tigres affamés. La caverne révèle sa véritable nature : c’était en fait un antre…

Cette réalisation fit alors déferler un tsunami de chair de poule le long de la colonne vertébrale du petit garçon que j’étais. Ce souvenir lointain compte parmi les plus viscéraux de ma découverte du medium. Des scènes de ce type ? J’en ai des centaines en mémoire. Tel Hannibal Lecter dans son palais mental, je furète souvent parmi les réminiscences de mon parcours de joueur et me replonge avec délectation dans une séquence marquante.

Au gré des œuvres et au fil du temps, l’éternel émerveillement face à la découverte a laissé sa place à une exigence certaine, sans jamais que la magie ne s’estompe. Le jeu vidéo fait partie intégrante de ma vie depuis ma plus tendre enfance et va certainement m’accompagner jusqu’au jour où, dans un dernier souffle, je m’effondrerai manette en mains devant la vingtième itération de Resident Evil.

  • PC : Intel i9-9900K + RTX 4090 + 32 GO RAM
  • Diffuseur vidéo : Sony XBR-49X900F (UHD / 60 Hz / HDR10)
  • Source : PC
  • Amplification : Denon AVR-S750H
  • Enceintes : Enceintes et caisson Klipsh Reference (Config. HP : 7.1)

Julien Coquelin (Outliner) - Critique JV

J’ai entamé mon voyage vidéoludique à l’âge de 4 ans, en découvrant Alex Kidd sur Master System et Robocop sur Amstrad GX4000. Joueur console dans l’âme, j’ai vécu d’inoubliables aventures en compagnie de femmes et d’hommes d’exception tels que Samus, Solid Snake, Joanna Dark, Kain et James Sunderland.  Puis, au fil des années, rattrapé par le fantasme d’obtenir ce que je n’avais pas jusqu’alors, j’ai découvert les FPS PC au travers des lunettes de Gordon Freeman et JC Denton, m’amenant à vouer à ce support une relation quasi exclusive, à une infidélité sur Switch près.

Joueur éclectique et néanmoins exigeant, je recherche avant tout à vivre une expérience. J’ai particulièrement aimé déambuler dans les décors de Vvardenfell et Tallon IV, m’embrumer l’esprit dans la ville de Silent Hill et secourir mon frère Paul dans les ruelles de Hell’s Kitchen. Fervent défenseur des jeux qui ne se vendent pas, je voue un amour infini aux Immersive Sims, tout en ayant été bouleversé par l’introspection robotique de 9S et galvanisé par la quête de destruction de la Khan Maykr. Loin d’avoir le regard figé dans le rétroviseur, j’ai été emporté par mon voyage à Night City, aimé être manipulé par la folie de Martha Is Dead et faire des tendres ronrons à des robots dans Stray.

Amateur de cinéma, j’ai été bouleversé par le voyage « Interstellar » du film du même nom et captivé par la découverte du Secret des poignards volants, tout en versant une larme au Premier Contact d’une forme extraterrestre.

  • Diffuseur vidéo
    • Téléviseur QLED : Samsung QE55Q8F
  • Sources
    • PC : RTX 2080 Ti + Ryzen 5600X + 32 Go de DDR4 + SSS Samsung EVO 1 To

Kilian Junker (Mr Wilkes) - Critique ciné fantastique

Buvant les Stephen King comme la sirupeuse abricotine de mon pays natal, j’ai d’abord découvert le cinéma via ses (souvent mauvaises) adaptations. Épris de Madame Wilkes autant que d’un syndrome de Stockholm persistant, je m’ouvre peu à peu aux films de vidéoclub et aux poisseuses séries B.

Après un parcours scientifique, j’étudie ensuite la biologie qui me pousse à chasser (pacifiquement) le loup durant la journée et à attendre le soir pour rejoindre le peuple lycanthrope de mes films d’horreur à deux balles. Puis la découverte d’un certain David Lynch, et plus particulièrement son indétrônable chef-d’œuvre Lost Highway, me file un uppercut qui me poussera définitivement à hanter les salles obscures.

Aujourd’hui, j’erre entre mes cinémas préférés, les festivals de films et les bordures de lacs helvétiques bien moins calmes qu’ils en ont l’air.

Loïc Adam (Araxe) - Critique ciné féru d'images

Je préfère lire les images que les regarder. J’essaie de trouver le chemin entre le bord et la marge. En réalité je suis perdu dans un interstice qui permet à une page de tenir. Cette bio est à lire littéralement et dans tous les sens comme une image. Au cinéma j’essaie de me mettre au milieu de la salle pour ne pas sentir le cadre débordé. Souvent je me dis qu’être au plus près de l’image m’accorde le privilège de la lire avant les autres. En fait c’est une connerie. On ne voit rien mais souvent il n’y a rien à voir. J’accepte les dormeurs au cinéma. Ils me donnent l’impression que la séance n’existe pas. Et j’aime bien sentir que tout cela est une projection.

Paul Gaussem (PGaussem) - Critique anime

En grand écart comme Jean-Claude entre l’Asie et l’Amérique, j’aime autant me balader sur les hauteurs du Mont Wu-Tang que dans un Saloon du Nevada, en faisant la plupart du temps un détour dans les ruelles sombres d’un Tokyo futuriste.

Si Roger n’a pas eu ma peau, c’est à coup sûr parce que mon Interceptor a la rage du tigre sous le capot. Toutefois, il vaut mieux ralentir… Qui sait ? Kaneda pourrait ainsi me passer devant et me guider jusqu’à la 36e chambre !

LES CONTRIBUTEURS PASSÉS PAR MAG

Johan Pomier (Johankata) - Critique ciné oriental

Probablement bercé trop près du mur-aille de Chine, j’ai dès l’enfance reproduit les geste de Jackie Chan face à l’écran. Aujourd’hui, mes réflexes étant plus proches de Pierre Richard que d’un Ninja des années 80, j’écume les « cinémas du monde » à la recherche d’émotions à base de tatane ou non.

Fan de Tarkovski, Michael Mann ou encore De Palma, je me concentrerai ici sur le cinéma dit « oriental », aussi bien les drames que les comédies ou les films d’action. Ainsi, tel Jean-Claude van Damme, je peux faire le grand écart entre Apichatpong Weerasethakul (oui oui, j’ai vérifié sur Google) et John Woo avec la plus grande souplesse (et sans trace de « farine » autour du nez).

Léa Daucourt (Leouz) - Critique ciné

Passionnée de septième art depuis plus de dix ans, les salles obscures sont devenues ma deuxième maison. Après trois ans d’études de Cinéma à l’Université de Strasbourg, j’ai décidé de les poursuivre en terre bruxelloise, où j’ai intégré l’INSAS en 2019. Ayant rejoint depuis la rédaction du webzine Maze.fr au sein de la rubrique Cinéma, mon aventure dans la critique ne compte pas s’arrêter là.

Combiner écriture et septième art reste pour moi le plus savoureux des mélanges. Digérer une expérience filmique et la mettre en mots, donner envie, aiguiller les spectateurs en amont ou pendant leur propre digestion, me fait vibrer au plus haut point. Entre journalisme et pensée, page et écran.

Nicolas Bouyou (Bubbleschmoot) - Critique SVOD

Biberonné très tôt au cinéma, je découvre Belmondo, Delon, Ventura par mon père, Bruce Lee par ma mère et les blockbusters américains par mon frère. Si j’ai eu la chance de découvrir sur grand écran Rambo 3, Terminator 2, Jurassic Park et même Super Mario Bros (et oui !), c’est la découverte du magazine Mad Movies et surtout de Blade Runner en VHS qui va me faire tomber amoureux du 7ème art.

Séchant les cours de sport pour me rendre au vidéoclub le plus proche, j’avalais de la pellicule comme d’autres des bérets verts au petit déjeuner (les vrais comprendront). Passant de Citizen Kane à Bloodsport, de Heat à Suspiria, de Mortal Kombat à Cent mille dollars au soleil, je suis curieux de tout et ma soif de cinéma est sans limite.

Aujourd’hui, casanier dans l’âme, acheteur (presque) compulsif de galettes 4K et abonné aux plateformes de streaming Netflix, Amazon Prime ou bien Disney+, je préfère la douce atmosphère du foyer pour mes visionnages intensifs.

  • Diffuseur vidéo : Panasonic TX-55FX700
  • Sources : Panasonic DP-UB820, Décodeur Canal+ 4K UHD
  • Enceintes : LG SL5Y (Config. HP : 2.1)

Guillaume Di Guisto (Guirich) - Critique ciné

Bonjour à toi qui a la chance de lire ma biographie ! Sache que tu ne liras pas souvent des articles de ma part, mais tu auras la chance d’entendre ma voix très régulièrement sur la chaîne YouTube.

Au commencement, il n’y avait rien puis… Non on va pas remonter aussi loin, mais le cinéma ça a commencé avec la saga James Bond vers les 9 ans. Cette même saga qui est ma toute première collection de cinéphile d’ailleurs.

Bref, j’ai la chance de pouvoir t’offrir plusieurs contenus en rapport avec le cinéma, même si je suis un grand Gamer, je resterai sur les terres du 7ème dans lequel j’ai fait des années d’études. Tu auras le choix avec le podcast critique « On refait le ciné ! », qui reviendra sur les films et séries du moment au cinéma comme en SVOD. 

En clair : débats, actualité, critiques, quiz, voilà les éléments que je te propose pour je l’espère te permettre de voir le cinéma d’une autre façon.

Sinon, sur mon temps libre, je plonge dans le monde du jeu vidéo avec les FPS ou RTS en tous genres. À très vite l’ami… Ciao, c’était Guillaume !

Pierre Chaussoneaux (theq500) - Testeur JV

Avaleur de kilomètres depuis tout petit sur l’autoroute vidéoludique, j’y roule à 500 à l’heure et parfois sans ceinture de sécurité. La Super Nintendo à Noël forcément, puis rapidement la tour PC de l’époque qui fit tourner comme elle pouvait Diablo 2, puis Counter-Strike. Je me souviens m’émerveiller en découvrant l’univers de World of Warcraft ou bien la scène e-sportive de Starcraft 2. Dès lors, le monde réel serait une petite route calme de campagne que j’emprunterais de temps à autre, sans conviction.

Depuis, je me saigne à peu près à tout ce qui bouge, tout ce qui se clique, tout ce qui se joue. Passionné sur le tard par les jeux indés, je m’essaie à coucher sur papier numérique les quelques mots qui me viennent pour décrire ces œuvres culturelles trop longtemps mises de côté.

LES ARTISANS DE L'OMBRE

Loïc Bos - L'artiste derrière les avatars

Tatoueur, Loïc œuvre en Alsace, sa terre natale. Passionné par l’illustration, il puise principalement son inspiration débordante de la bande-dessinée, qui remplit sa bibliothèque et épuise son compte en banque. Qu’il s’agisse de la BD franco-belge, de cartoon des 50’s ou de mangas, Loïc aime marier les approches et styles graphiques de toutes époques. On lui doit nos charmants avatars que vous pourrez vous faire graver sous la peau chez Tinta Tattoo en vrai fan qui se respecte. C’est mieux qu’un vieux T-shirt MaG non ? 

Nina Hernandez - Notre Graphiste

Au tout début quand MaG n’était qu’un vague nom de domaine, nos joyeux pères fondateurs s’interrogeaient sur la forme que prendrait le site. A la recherche d’une graphiste, de fil en aiguille – et après une quête arrosée – nous avons rencontré l’élue. Déjà bien implantée dans le terreau local strasbourgeois et à l’origine de la charte graphique de l’association No Limit Orchestra, Nina était toute destinée pour habiller MaG de la tête aux pieds. On lui doit toute la charte graphique du site avec des brainstorming comme on sait faire en Alsace : bières et flammekueches s’il vous plaît ! 

Yann Garcia (Blue) - L'homme qui murmurait à l'oreille de WordPress

Autrefois barman ancré au bistrot de l’éternelle Perestroïka, Sergent Garcia est désormais développeur. Sans lui, MaG serait truffé de bugs en tous genres. Si MaG était un RPG, Yann serait l’homme de l’ombre qui envoie des missiles Soyouz depuis son smartphone, le Denis de l’informatique qui faisait sauter Jurassic Park. Toujours les mains dans le code – l’équivalent du cambouis en mécanique – Yann est notre joker qu’on sait choyer à grand renfort de houblon !

LE SYSTEME DE NOTATION

Il s’applique pour les tests techniques (support physique et SVOD) et s’échelonne progressivement de 0 à 10. Avec une note de 0 c’est consternant, de 5 c’est moyen et de 10 c’est excellent (chef-d’œuvre pour l’œuvre). La note est composée des variables artistique, vidéo et audio. Comme l’appréciation personnelle n’est pas le fruit d’une simple somme algébrique, le tout est accompagné d’un badge qui traduit le ressenti final du testeur. Libre à chacun d’entre eux d’y apposer le badge qu’il souhaite quelle que soit la note obtenue !