• Testé sur Nintendo Switch principalement en mode portable sur Switch Oled avec des écouteurs sous la couette, comme à l’époque de la Gameboy !
  • Jeu transmis par l’éditeur en version boîte !
  •  Aventure principale finie en 25h de jeu en mode héroïque (doublement des dégâts subis,
    aucune apparition de cœurs, absence d’effets de certains accessoires)
  • Barre de vie à 15/20❤️au terme de l’aventure !
  • J’ai attrapé 115/127 échos du jeu et fouillé l’intégralité du château d’Hyrule en espérant secrètement y trouver l’écho de Manuel Valls ! Sans succès à ce jour…
  • Capture de gameplay et screens maison !

38 ans : c’est le temps qu’il aura fallu à Zelda pour avoir droit à son premier jeu en tant qu’héroïne. Quel comble alors que tout le monde garde le souvenir petit d’avoir confondu Link et Zelda. Idem pour Samus et Metroid, quoique la comparaison soit moins flatteuse dans le second cas. D’autres princesses Nintendo comme Peach auront eu droit à plus de faveur avec Super Princess Peach dès 2006, bien avant Showtime (2024). Vous l’aurez compris, on était curieux d’essayer Echoes of Wisdom. Curieux… ou plutôt inquiet de se farder un ersatz de Link kawaïsé après une communication un poil « girly » de la part de l’éditeur. Confidence pour confidence, c’est le mois des repentances sur MaG ; après Silent Hill 2 (lire notre critique) dont on craignait qu’il n’égale pas son modèle, Zelda vient corriger notre outrecuidance et nos préjugés : Link peut aller se coucher ; la princesse peut désormais sauver Hyrule toute seule !

Link et Zelda sont sur un bateau, Link tombe à l’eau

Pour beaucoup de joueurs tombés dans la marmite Nintendo petit, le nom d’Hryule sonne immédiatement comme une invitation au voyage, une ode à l’aventure et à l’exploration. Depuis les premiers choux coupés à la pointe de notre épée, la licence aura eu droit à une vingtaine d’épisodes dont le dernier en date est le bulldozer et million seller Tears of the Kingdom (2023). Nintendo a presque systématiquement renversé la table d’un épisode à l’autre. Vous attendiez un opus réaliste, vous aurez du cel shading ? Un jeu en 3D, et bien ce sera de la 2D à l’ancienne ! Nintendo a toujours su renouveler sa licence sur le fond comme la forme. A la question de savoir quel Zelda les gouvernera tous, il est devenu presque impossible de répondre avec les années tant chaque opus s’est lové dans notre imaginaire conscient ou non. Et même s’il n’en reste que des bribes, elles sont indélébiles et ne cessent de forger une légende à chaque fois renouvelée. Zelda a grandi avec nous et vice et versa.

Zelda Echoes of Wisdom
Quel charmant village ! Et si j'allais brûler toutes ces hautes herbes !

Avant d’entrée dans le vif du sujet, il faut resituer cet épisode vis-à-vis de ses prédécesseurs, à commencer par le remake de Link’s Awakenning (revoir la pub déjantée de l’époque) dont il reprend le style. Loin des plaines d’Hyrule, ce titre culte sorti originellement en 1993 a été réalisé par Takashi Tezuka. Ce dernier prenait à contrepieds les fans du mythique A Link to The Past (1991). Une quête du Graal à la recherche du Poisson rêve, alors que Link échouait sur le rivage de l’île de Cocolint. Ce jeu tantôt onirique, tantôt mélancolique, a été ma première rencontre avec la franchise sur Gameboy color, couché par terre et recroquevillé sous la lumière de l’halogène à une époque où le rétroéclairage des écrans nous était encore inconnu. Il faudra attendre la révolution de la Gameboy Advance SP, véritable phare dans la nuit pour une bonne partie des enfants des années 90, qui découvrirent pour la première fois tous les classiques de la Super Nintendo et sous la couette s’il vous plaît !

Une pub olé olé pour la Gameboy advance SP perdue quelque part dans les méandres de Reddit !

Zelda réveille de lointains souvenirs

En 2019, Link’s Awakening avait donc droit à un remake au style rondouillard et naïf.  Le jeu conservait sa caméra aérienne tout en poussant le côté cartoonesque de ses modèles 3D. C’est à Grezzo dont on devrait cette relecture. Pour beaucoup, ce studio first party dans l’ombre de Nintendo n’évoquait pas grand-chose. Et pourtant l’éditeur nippon lui a déjà confié des portages majeurs comme Ocarina of Time 3D (2011) puis Majora’s Mask 3D (2015). C’est également Grezzo qui s’était chargé des spin-off comme Four Swords Annniversary (2012) ou encore Tri Force Heroes (2015). Avec Echoes of Wisdom, Grezzo prend du galon et s’attaque directement au développement d’un jeu totalement original. Echoes of Wisdom est leur troisième jeu exclusif après Luigi’s Mansion sur 3DS et Miitopia sur Switch. Dans l’interview Les développeurs ont la parole, Vol. 13, on y apprend que Tomomi Sano est la première femme à avoir participé directement à la réalisation d’un jeu de la série The Legend of Zelda. Une triste anecdote qui en dit long sur une industrie encore largement trustée par des Hommes.

Zelda Echoes of Wisdom
Heureusement qu'il n'y a pas de doublage car ce moblin nous aurait certainement insulté de tous les noms.
Zelda Echoes of Wisdom
Comme Sacha dans Pokemon, Zelda aime faire des combats de bêtes entre amis !

Les équipes artistiques ont repris la patte graphique du remake de Link’s Awakenning et son style Terrance et Philippe de ses personnages aux yeux vides comme le relevait Ummagumma, grand sceptique des choix artistiques de Nintendo. Et pour autant, ce côté tintinesque colle à l’ambiance décalée de cet univers où des peuples divisés vivent aux quatre coins du royaume. Les fans dont je fais partie apprécient toujours autant le fait que Nintendo se refuse à doubler les voix de ses personnages. Avec ces expressions surjouées et caricaturales, Nintendo fait reposer sa narration sur les mêmes ressorts que le cinéma muet. C’est à l’imagination du joueur de prendre le relais et c’est tant mieux à une époque où des jeux bavards et écrits avec les pieds sont légion. Qui n’a pas rêvé de fusiller Atreus dans God of War Ragnarok (lire notre critique désabusée), alors que le gamin geignard passe son temps à commenter la pluie et le beau temps. Nintendo résiste à toutes les tendances ou presque et c’est tant mieux !

Zelda Echoes of Wisdom
Zelda participe à sa manière au réchauffement climatique...

Un framerate asthmatique

Une fois n’est pas coutume, sur Switch Oled, le jeu est sublimé grâce à des contrastes aux petits oignons qui font oublier les faiblesses techniques d’une console de moins en moins athlétique avec les années. Pour cacher son moteur mis à rude épreuve, les développeurs ont de nouveau appliqué un effet de blur qui participe à l’ambiance du titre mais qui fait par moments office de cache misère, dès qu’on prend de la hauteur. Sans pour autant gâcher l’expérience, c’était la condition sine qua none pour garantir un framerate correct. Et même avec ça, à cheval ou lorsque les ennemis pullulent à l’écran, le framerate tire la tronche et peut hoqueter comme un bébé qui cherche à tout prix à ravaler son vomi (Amis de la poésie bonjour) !

Zelda Echoes of Wisdom
Zelda est atteinte d'une vilaine myopie divergente par moments.

Malheureusement, le jeu jongle ainsi entre 30 et 60 fps constamment, ce qui interroge sur ce compromis technique. N’aurait-il pas fallu verrouiller le jeu à 30 fps ? Les donjons en revanche restent quasiment constamment à 60 fps, intérieur oblige, comme le relève Digital Foundry. C’est aussi le prix à payer d’un open world sans écrans fixes qui s’enchaînent comme dans les tous premiers jeux. La résolution elle-aussi s’adapte pour faire souffler la pauvre Switch, décidemment mise à mal ces dernières années, de quoi espérer un hardware plus ambitieux pour son successeur.

Zelda Echoes of Wisdom
Rien de tel qu'une bonne baignade dans le désert Gerudo !

Si le jeu reprend une partie de la construction de la map de A Link To The Past, elle est méconnaissable et largement transformée sur tous les plans. Après son introduction surprenante qui nous fait immédiatement incarner Link en plein donjon avant un combat de boss contre l’éternel Ganon, on prend le relais avec Zelda. La belle s’est échappée de justesse d’une mystérieuse faille qui a aspiré Link et des parties du royaume. Voilà la formule renversée : à peine sauvée, la princesse va devoir renvoyer la balle à celui qui a porté la tunique légendaire depuis presque 40 ans ! Ce point de départ original est astucieux. Ganon laisse cette fois-ci la place à un nouvel antagoniste, Nihil qui, comme son nom l’indique, ne croit en pas grand chose si ce n’est la destruction du monde. A l’image de Mario et son double maléfique, certains personnages ont droit à leur itération diabolique dans l’autre monde qu’il faudra réintégrer à Hyrule. Jeté au cachot par le doppelgänger de notre propre père, on fait la connaissance de Tri, une petite boule d’énergie presque aussi attachante que Mooncake de la série anime Final Space, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Zelda Echoes of Wisdom
"Mazette, j'ai failli tomber !"

Tri Thérapie réussie

Notre nouvel allié nous offre un sceptre susceptible de répliquer des échos de notre monde. On peut ainsi générer des doubles de presque tout ce qui nous entoure. Une mécanique évolutive qui commence par du simple mobilier jusqu’à produire des essaims de Moblins et même un Lynnel, ennemi emblématique de Breath Of The Wild. Si on avait de sérieux doutes sur le gameplay lors des premiers trailers qui nous montraient Zelda en train d’apprendre à cloner de la literie, le jeu ne cesse de nous surprendre en laissant la part belle à l’expérimentation. On ne cesse de tester les possibilités de gameplay, à apprendre de nos erreurs en adaptant notre stratégie. Il y a clairement eu un avant et un après Breath Of The Wild. Dès le départ, on peut choisir d’aborder l’histoire à notre convenance en allant où on veut. Contrairement à l’OST environnementale des derniers Zelda 3D, Nintendo renoue avec le classicisme avec plus de 160 pistes originales et dont certaines sont d’ores et déjà mémorables. Sans jamais se contenter de son héritage, les partitions savent trouver un juste équilibre entre hommage, relecture et fantaisie. Un pur régal et vivement que l’OST soit disponible à l’achat.

Zelda Echoes of Wisdom
Les passages dans la pénombre sont parmi les plus cools du jeu !
Zelda Echoes of Wisdom
Un poisson lanterne nous ouvre la voie... une idée lumineuse !

Le gamedesign est prodigieux au sens où il permet de collecter par moins de 127 échos, ce qui donne un petit côté Pokemon à l’ensemble. Chaque joueur aura ses propres approches. Ce n’est qu’après le générique du jeu que j’ai par exemple découvert qu’on pouvait voler en s’accrochant à un écho de piaf, alors que je privilégiais des plateformes volantes pour ma part. On peut ainsi passer à côté de certains échos, mais le jeu veille toujours à nous laisser expérimenter. Qu’il s’agisse de grimper sur un fil d’araignée ou générer des nuages, des lits ou des colonnes d’eaux pour prendre de la hauteur, toutes les solutions sont bonnes pour avancer. Contrairement aux vieux épisodes 2D, l’exploration n’a plus rien à voir. On peut ainsi grimper sur des arbres et arpenter la map avec une certaine verticalité.

Zelda Echoes of Wisdom
Il y a quelque chose de grisant à grimper sur les arbres. Comme si on avait hacké le jeu !

Soucieux de rendre hommage à ses illustres modèle, Grezzo propose aussi de très nombreuses séquences en scrolling horizontal. Une idée astucieuse qui permet de découvrir les attributs de nos échos sous une autre facette. Contrairement à Link, Zelda est un véritable poisson dans l’eau et même si Link apprenait vite à nager après avoir trouvé des nageoires, Zelda, elle, peut dès le départ aller explorer les fonds marins. Beaucoup de passages aquatiques viennent vraiment renouveler la formule et les approches, tout en offrant des combats aquatiques grisant en invoquant des piranhas, des méduses ou même des requins.

Zelda Echoes of Wisdom
Se battre avec des requins dans un utérus mal en point... check !

Tout est bon dans le donjon

Si les amateurs de donjons ont pu se sentir quelque peu floué depuis le virage opéré par Breath of The Wild, Echoes of Wisdom devrait leur plaire. Certes un peu trop expéditifs au départ, les donjons montent en exigence dans la deuxième partie du titre, certainement pour ne pas trop déstabiliser le joueur encore en pleine phase d’apprentissage. Ici c’est au joueur de tout apprendre tout seul et contrairement aux solutions souvent uniques des puzzles des vieux jeux, il est ici possible de déjouer la machine en fouillant les combinaisons possibles de nos échos. Les possibilités sont démultipliées par le pouvoir de tri qui nous permet de déplacer des objets à distance ou de se (dé)synchroniser en suivant le mouvement d’un objet. En combinant ce pouvoir avec nos échos, on se surprend à découvrir des techniques insoupçonnées. C’est à l’indéboulonnable Eiji Aonuma qu’on doit encore une fois l’approche très libre du jeu :

« Quand il s'agit de résoudre des énigmes, la satisfaction qu'on ressent en trouvant soi-même sa propre solution constitue l'essence même des jeux The Legend of Zelda. Ce qui implique qu'il faut augmenter le niveau de liberté des joueurs. En gardant cela à l'esprit, j'ai demandé à Grezzo d'utiliser les deux éléments mentionnés comme base du gameplay, et d'y ajouter de la liberté. »

Zelda Echoes of Wisdom
Cela fait presque 40 ans que Link tourne autour de Zelda. Zelda fait preuve d'une sagesse légendaire.
Zelda Echoes of Wisdom
True fact : Zelda est une lointaine cousine de Terrance et Philippe !

Certes on aurait aimé que dès le départ, les donjons soient aussi inventifs que dans la dernière partie du jeu. Mais le jeu gagne à être joué en mode héroïque pour pallier ce maigre défaut. Dans ce mode de difficulté accessible dès le début du jeu et ajustable à tout moment, les dégâts subis sont doublés et on ne trouvera aucun cœur de tout le jeu et certains accessoires seront limités voire carrément retirés. Cela permet de redonner un peu de défi à la première partie du jeu où il est très fréquent de mourir en un seul coup. Même plus tard certains ennemis costauds peuvent vous retirer 10 cœurs d’un coup. On espère désormais que ce choix de difficulté dès le départ deviendra progressivement la norme chez Nintendo. Le new game plus, c’est bien mais avoir le choix dès le départ, c’est mieux !

Zelda Echoes of Wisdom
Tentative de suicide n°2337 !
Zelda Echoes of Wisdom
Cette fois, c'est la bonne !

Smoothie Criminal

Le jeu propose aussi un système d’ingrédients à collecter pour créer des smoothies aux effets originaux. Etonnamment cet aspect du gameplay m’a semblé sous exploité et hormis pour le boss final où Zelda s’est empiffrée d’une cinquantaine de pommes, vingt citrouilles, une dizaine de cactus et un œuf d’or pour battre le boss final, il m’a semblé inutile de concocter des potions. Déjà parce qu’il suffit de répliquer un lit pour piquer un roupillon et regagner de la vie à tout moment. Ensuite car les checkpoints automatiques évitent la frustration. C’est d’ailleurs un peu dommage qu’ils soient si nombreux car leur absence participait d’un certain sentiment d’accomplissement dans les vieux jeux. 

Zelda Echoes of Wisdom
Les boss sont inspirés et rafraichissent la série !
Zelda Echoes of Wisdom
On sent également l'influence des Mario Galaxy !

Outre cet aspect du gameplay qui ne m’a pas semblé complétement assumé, il est possible de jouer à des mini jeux pas très inspirés sur la map. Tamponman, un illuminé et sans doute lointain cousin de Tingle, nous invite à explorer la carte pour gagner des prix tandis qu’un autre péquenaud du cru nous propose des courses aux glands. Bref ça manque un peu de fantaisie question quêtes annexes, malgré quelques idées rigolotes d’interactions avec le monde animal. Que dire également de l’économie générale du jeu où l’argent ne sert à rien. Dommage que les tenues aient été sous exploitées également, même si on aurait honni le côté poupée Barbie qu’on craignait au départ. 

Zelda Echoes of Wisdom
Le remake de La Momie n'a qu'à bien se tenir !
Zelda Echoes of Wisdom
Tamponman n'arrive pas à la cheville de ce bon vieux Tingle ! Dommage !

Du côté des boss, le jeu est particulièrement généreux et la plupart sont très inspirés tout en cassant parfois la religion des trois phases chère à Nintendo. C’est un véritable régal de chercher à changer d’approche pour les vaincre. On regrettera seulement le manque de précision des échos volants qui galèrent parfois sérieusement à toucher leur cible. Le lock automatique est parfois fatiguant quand les cibles sont trop nombreuses. C’est d’ailleurs à ce moment qu’il est recommandé de nous transformer en écho de Link pour décocher une salve de flèches sur nos adversaires, jeter des bombes ou en tranchant dans le lard. Ce pouvoir qu’on débloque progressivement ne se substitue jamais à la magie des échos grâce à une jauge de mana qui se vide très vite en mode héroïque. Au rang des griefs, on peste parfois sur la lisibilité discutable des profondeurs. Il nous arrive parfois de tomber d’une plateforme qui nous semblait à portée de main. Encore et toujours, la 3D stéréoscopique manque aux nostalgiques invétérés de la 3DS.

Pour sa première aventure solo, Zelda hisse la barre très haut et n’a pas à rougir de sa prestation. Généreux, le jeu opte pour une approche différente et qui laisse la part belle à l’inventivité, décidément le mot d’ordre des dernières productions Nintendo de la décennie. Le système d’échos nous fait collectionner de façon boulimique les monstres de l’univers pour résoudre des puzzles inspirés ou pour mieux les retourner contre les leurs. Malgré des concessions techniques qui font un peu tâche pour une production Nintendo de cet acabit, Grezzo tient une belle alternative aux aventures de l’Hylien à la tunique verte. On craignait une zeldaxploitation, on tient au contraire un jeu qui fourmille d’idées sans jamais tomber dans le recyclage. Pardonnez-nous Nintendo d’avoir douté, Grezzo peut se targuer d’avoir réalisé l’un des meilleurs jeux Switch du catalogue. Un titre pour petit·es et grand·es et déjà un candidat tout trouvé pour les fêtes de fin d’année !

Pour
  • DA enchanteresse !
  • Sublime sur Switch Oled
  • Finition générale
  • Gamedesign qui inspire le respect
  • Gameplay foisonnant
  • Autant d'approches que de joueurs
  • La collectionnite des échos
  • Les effets de lumière
  • OST excellente
  • Difficulté à la carte
  • Les derniers donjons inspirés
  • Le personnage de Tri
  • Pas du tout "girly" finalement
Contre
  • Techniquement inégal
  • Fluidité souvent mise à défaut
  • Côté brouillon des combats en nombre
  • Manque de précision des échos volants
  • Quêtes annexes limitées
  • L'ocarina nous manque !
  • L'argent et les smoothies inutiles
  • Manque de rebondissements de l'épilogue

Critique JV et ciné toujours prêt à mener des interviews lors de festivals ! Amateur de films de genre et de tout ce qui tend vers l'Etrange. N'hésitez pas à me contacter en consultant mon profil.

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le loup celeste
Administrateur
5 jours

Dans mon top 5 des JV Zelda, et il n’est pas 5e ! 🥰

itokiry
4 jours

J’avoue il me fait de l’oeil (et Noël approche), mais je crains vraiment de me lancer dedans après Tears of the Kingdom. Rien à voir, je sais bien, mais une petite voix dans ma tête me dit qu’il n’est pas évident d’oublier l’un pour passer à l’autre.

Ummagumma
4 jours
Répondr à  itokiry

Oui, parfois il vaut mieux laisser passer un peu de temps selon les types de jeux qu’on enchaîne!

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