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- Assassin’s Creed Origins ...
- Testé sur PlayStation 5.
- Environ 35h de jeu au total.
- Histoire non terminée.
- Images maison en utilisant le mode photo du jeu.
Série débutée en 2007 sur Xbox 360, PlayStation 3 et PC, Assassin’s Creed fait désormais partie intégrante du paysage vidéoludique, s’offrant un nouvel opus de manière régulière au même titre que les géants Call of Duty et FIFA. Ubisoft a conscience de la mine d’or que représente cette franchise s’étalant sur plus de vingt sorties, partagées entre opus canoniques et dérivés. L’éditeur en prise avec les marchés financiers capitalise cette année sur un Japon féodal longtemps réclamé par les fans. N’allez cependant pas croire que Assassin’s Creed ait tenu la même recette pendant plus de quinze longues années. Premier gros bouleversement opéré, l’apparition du monde ouvert avec le second volet aura signé les prémices d’une vague sur laquelle l’industrie d’aujourd’hui surfe encore. Huit ans plus tard, Assassin’s Creed Origins faisait quant à lui passer la série d’Ubisoft dans la catégorie des Action-RPG.
Antimémoires
Bien que ces colonnes n’aient rien d’un confessionnal, il faut néanmoins que je partage, enfin, mon désamour pour la franchise Assassin’s Creed. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir tenté de l’aimer, en retournant le premier volet dans tous les sens, intrigué que j’étais par sa proposition comparée par la presse de l’époque au bien aimé Hitman, avant de m’essayer au second puis à ses deux suites numérotées, et même au spin-off Libération sur PS Vita. J’ai aussi entrepris quelques prises en main d’opus plus récents, arrivés au cours des premières années de la génération PS4/One, manquant encore un peu de titres marquants. Or, je dois l’avouer, cet état de fait m’a toujours désolé. Parce que j’ai la sensation d’avoir raté un vrai phénomène, d’être passé à côté de l’une des œuvres majeures de ce média que j’affectionne. Malheureusement, dès qu’il s’agit d’Ubisoft, du moins après l’apparition de Far Cry 3, je suis difficilement capable de trouver la force de rester optimiste. Et la suite de ses sorties m’aura finalement donné raison, puisque Far Cry 4 et 5 étaient beaucoup moins bons et plus prévisibles que leur modèle, quand le sixième volet est, à mon sens, plutôt honteux. Du côté de Assassin’s Creed, pourtant, je dois reconnaître avoir envié sincèrement ceux qui parvenaient à passer au dessus de qualités d’écriture médiocres et d’une boucle de gameplay tournant un peu vite en rond.
Ce qui a finalement changé, c’est une trilogie qui m’aura plus intrigué que je ne voulais bien l’admettre en premier lieu. D’abord parce que le passage franc à de l’Action-RPG façon The Witcher 3 : Wild Hunt avait quelque chose de prometteur à mes yeux. Non pas qu’il m’ait jamais semblé qu’Ubisoft soit capable de réitérer l’exploit de CD Projekt Red, tenant presque du miracle, mais il n’y a pas de mal à essayer, tant que les intentions sont bonnes et les moyens suffisants. Or, à première vue, Assassin’s Creed Origins, premier volet de cette trilogie, coche toutes les cases de l’expérience ambitieuse : Open-World vaste, contenu conséquent, visuels attractifs, et bien sûr changement radical de gameplay et d’intentions. En s’éloignant de la confrérie des assassins, le titre choisissait une recette plus commune, certes, que ne renieraient pas des productions très standardisées telles que Horizon Zero Dawn, God of War 2018 (voir notre test), ou encore Hogwarts Legacy. Mais il n’avait toutefois pas à rougir face à la concurrence, surtout en 2017, année qui, bien que particulièrement riche en termes de sorties, ne proposait toutefois pas tant de mondes ouverts mémorables que cela. Hormis The Legend of Zelda : Breath of the Wild, bien entendu. Et la première force d’Origins, c’est assurément son contexte dépaysant. Quoi qu’on en dise, l’Égypte antique intrigue, et trop peu d’expériences vidéoludiques nous ont donné l’occasion de nous y immerger, encore moins de manière aussi « réaliste ».
Alors j’imagine bien que les passionnés d’histoire s’offusqueront devant tel ou tel manquement, telle architecture ou le placement d’un monument mémorable… mais pour le commun des mortels, il faut avouer que la découverte du monde de Assassin’s Creed Origins a quelque chose de grisant, et même de dépaysant. Avec son mélange étrange de structures grecques et orientales, au cœur d’une Alexandrie qui arbore un charme fou par exemple. Ou plus tard via la découverte des grandes pyramides et d’un désert de sable tangible, voire même d’une faune et d’une flore typiques. Même si le titre ne vise pas constamment l’immersion totale, il faut dire qu’on l’atteint malgré tout facilement en s’en donnant les moyens. Autrement dit, en se baladant simplement dans ce monde frappé d’un soleil de plomb, jamais remplacé par aucune autre météo moins avantageuse (ce qui est un poil décevant, mais parfaitement compréhensible vu ce que cela implique en matière de développement). Le seul hic à ce niveau, c’est un HUD, autrement dit le marquage d’informations à l’écran, qui manque cruellement de naturel, et tombe sur l’image comme une perruque dans la soupe.
Premier gros regret, qui sera suivi par beaucoup d’autres, s’il est bien possible de paramétrer le HUD pour le rendre moins opaque, les options manquent néanmoins de nuance. Trop pour permettre la sacro-sainte immersion sans passer par de grosses concessions. À titre personnel, j’aurais apprécié qu’il soit possible de tout supprimer de l’écran, sauf le marqueur d’objectif choisi par le joueur sur la carte du monde. Mais c’est malheureusement impossible. Si l’on choisit d’enlever tout ce que le HUD nous apporte en termes d’informations, on se prive par la même de confort, et on est alors contraint de se repérer nous-mêmes, en ouvrant notre carte et en devinant l’emplacement des personnages à qui parler, ou des lieux abritant une quête. Pas de mini-map discrète à disposer dans un coin de l’écran, ni d’indications de l’environnement, façon Ghost of Tsushima. Ce qui n’est pas un défaut en soi, puisqu’il faut reconnaître que cela apporte un énorme plus à l’immersion de dénicher soi-même ses objectifs, en oubliant tous les marqueurs disgracieux qui obstruaient auparavant notre champ de vision. Mais le titre n’est pas conçu pour cela, et ça se sent rapidement. D’autant que chaque quête annexe ou point d’intérêt se boucle à une vitesse folle. On se sent rarement récompensé de l’effort fourni et du temps dépensé pour trouver nos objectifs sans cette assistance agressive imposée par défaut.
Une assistance qui fait beaucoup de mal à un gameplay qui, s’il essaie sincèrement, tourne néanmoins vite en rond. Ce que l’on appelle la « boucle de gameplay » a rarement aussi bien porté son nom dans un Open World. Parce que dans Assassin’s Creed Origins, une grande majorité des objectifs proposés consiste à se rendre à un point infesté d’ennemis afin d’y éliminer une cible, y trouver un item clé, ou en exfiltrer un allié. Or, si le level design est plutôt bien pensé dans l’ensemble, ce qui aurait dû permettre une sensation de nouveauté à chaque lieu fortifié, le mode opératoire demeure toutefois le même : lorsqu’on arrive à proximité, le jeu nous indique par un gros marqueur à l’écran qu’il faut utiliser notre faucon de compagnie pour faire du repérage, ce qui se traduit par un pointage des adversaires et objectifs annexes qui apparaissent alors en surbrillance, même à travers les murs. Reste ensuite à infiltrer les lieux, tuer les PNJ ostensiblement stupides qui nous barrent la route, et ressortir sans avoir alerté les troupes de renfort pouvant poser problème. Autant dire qu’on a vite fait le tour, malgré quelques tentatives de renouveler un brin l’intérêt de ces séquences récurrentes, via l’ajout de nouveaux types d’ennemis par exemple, qui font souvent plus office de sacs à PV qu’autre chose…
Au sud de nulle part
Parce que le passage à de l’Action-RPG n’a pas eu que du bon, et qu’il faut reconnaître que distinguer clairement les barres de vie de nos adversaires nous sort rapidement de l’immersion pourtant recherchée. Mais aussi que l’équilibrage est assez catastrophique. Là où le World Building cherche le plus souvent un certain réalisme, une tangibilité qui éviterait tout haussement de sourcil intempestif de la part du joueur, se retrouver face à des adversaires qui ne perdent qu’une quantité ridicule de points de vie en se faisait trancher la carotide par notre héros les prenant par surprise a quelque chose de détestable. Pire encore, Assassin’s Creed Origins force le joueur à grinder, autrement dit à engranger de l’expérience artificiellement, en lui opposant des ennemis de plus haut niveau que lui, impossibles à faire tomber. Un problème qu’on retrouve dans la construction même de l’aventure, avec des quêtes principales qu’il n’est pas possible d’enchaîner sans s’intéresser au contenu annexe. Toutes étant marquées par un niveau requis, on constate vite qu’après une grosse mission faisant avancer l’intrigue, la suivante demande le plus souvent une constitution bien plus avancée. Dommage, car le rythme de l’aventure en pâtis énormément. On a l’impression tenace d’un jeu qui tire inutilement en longueur, malgré des missions globalement assez courtes qui s’enchaînent vite.
Une recette qui goûte un peu le Fast Food à l’américaine. Tout est là, comme un genre de buffet à volonté, et on tente tout le temps de nous forcer à nous goinfrer en nous rappelant qu’on peut se faire livrer directement les plats à notre table sans prendre la peine d’utiliser nos jambes ou notre cerveau. Vous ai-je déjà dit que je méprisais les services de livraison de bouffe et ceux qui en abusent ? Eh bien ce n’est pas Assassin’s Creed Origins qui changera cet état de fait. Malheureusement pour lui, le jeu est en quelque sorte la victime des standards imposés plus tôt par Ubisoft lui-même, visant plus à contenter les joueurs peu réguliers que les gamers de longue date. Un point qui fait défaut à toutes les expériences du géant français depuis une dizaine d’année, et qui a fini par s’étendre à l’industrie de manière générale avec le temps. Coucou Sony ! Et si je trouve qu’il n’y a pas de mal à organiser son expérience de sorte à ce qu’elle puisse plaire au plus grand nombre, évidemment, il m’apparaît toutefois déplorable de constater le manque d’options pensées pour les joueurs les plus habituels. A fortiori sur un jeu aussi coûteux, puisqu’on parle d’un triple A assumé, dont la durée de vie et le contenu sont dans le très haut du panier. Qui a 50h à mettre dans un titre creux qui lui prend autant la main, alors que des projets plus raisonnables, moins onéreux, et plus intéressants paraissent chaque semaine ? Pas moi en tout cas.
Alors que reste-t-il à Assassin’s Creed Origins ? Des personnages attachants ? Eh bien, oui et non. Oui, certains PNJ que l’on rencontrera au cours de l’aventure sont assez marquants, et on apprécie revenir vers eux, ou en découvrir plus sur leurs motivations et leur vécu. Mais ceux-ci sont minoritaires, et la plupart se contentera de nous investir d’une quête FEDEX absolument détestable, dont on se serait bien passée. Si tout ou presque est scénarisé, et qu’on sent bien l’influence d’un The Witcher 3, les qualités d’écriture sont à des années lumière du titre de CD Projekt Red. Ce qui était prévisible, certes, mais demeure toutefois assez déroutant quand on pense à la longévité de l’entreprise française, et à son savoir faire supposé. Un savoir faire qui est parvenu à accoucher d’un monde finement construit, certes, mais qui n’est pas capable de pondre le moindre scénario intéressant, le moindre protagoniste attachant, ou de se départir de ses satanées séquences « contemporaines », qu’on sautera à la vitesse de la lumière tant leur intérêt approche le néant. Faire s’opposer deux histoires en parallèle, c’est sympathique sur le papier, et certains jeux y parviennent très bien. Mais il faut que ce parti pris apporte quelque chose au propos. Or, chez Assassin’s Creed Origins, non seulement on oublie vite l’histoire de Bayek, notre protagoniste d’Égypte antique, mais en plus on exècre celle de Layla, sa « lointaine parente du présent ».
Quelle tannée de devoir supporter ces retours dans le présent, pendant lesquels Layla, personnage insipide, échange avec on ne sait qui sur ses projets vides de sens, nous forçant à effectuer des actions fades quand tout ce que l’on désire c’est retourner planter de fines lames entre les côtes de salopards. L’histoire de Bayek s’en tire mieux, bien heureusement, et connaît quelques moments forts, parmi lesquels la mort de son fils et ses retrouvailles avec son meurtrier supposé figurent en tête de liste. Mais elle n’échappe pas à des problèmes majeurs, pour commencer une introduction beaucoup trop longue (pas loin de quatre heures de jeu) avant de nous laisser plonger dans le grand bain. Un choix de structure qui semble aller complètement à contre courant de l’idée de base du jeu, à savoir de proposer un monde ouvert vaste offrant une grande liberté d’actions et de découvertes. Or, après la frustration des premiers instants, difficile de retrouver pieds, et de prendre enfin plaisir à explorer quand l’opportunité nous est donnée. A fortiori dans la mesure où le titre nous bride constamment, avec ses ennemis trop forts pour nous qui nous bloquent certains accès, tout en distribuant régulièrement de nouvelles quêtes annexes aux niveaux requis très éloignés du nôtre.
Sur ce buffet à volonté que j’évoquais plus tôt, les séquences dans le présent seraient certainement ces fameuses brochettes de bœuf au fromage à vomir, et les combats aux commandes de Bayek s’apparenteraient aux nouilles sautées : délicieuses en apparence, mais bourratives et fades en substance. Les sashimis de saumon bien gras, le clou du spectacle donc, seraient plutôt représentés par les séquences d’exploration de tombeaux décrépits, mais surtout de pyramides. Qu’il est bon de profaner la tombe d’un ancien roi investi d’une mission divine, pour le simple plaisir d’empocher quelques piécettes et un ou deux loots légendaires ! À ce niveau, le jeu d’Ubisoft ne joue pas dans la même cour qu’un Borderlands ou un Diablo, chez qui le travail autour de l’armement relève d’un fanatisme méticuleux, presque religieux. Mais il faut reconnaître que la récupération de nouveaux engins de mort, plus puissants que les précédents, a quelque chose d’assez grisant, surtout une fois mis en pratique face à quelque adversaire pataud.
Terre des oublis
Aussi étrange que puisse paraître cette conclusion, je n’ai pas passé un mauvais moment sur Assassin’s Creed Origins. Mais je pense que c’est en bonne partie parce qu’il me faisait rire, avec ses embranchements scénaristiques visibles à des lieues, ou ses ennemis surpuissants qui ne tressaillaient pas lorsque quelques flèches bien senties leur tombaient dans la nuque. Il faut vraiment que je me mette à la muscu, parce que visiblement ça protège bien, même des coups de couteau dans la carotide. En vérité, ce que j’ai préféré dans ce jeu parfaitement imparfait, c’est son univers. Ce n’est certainement pas « réaliste », quoi que ce terme puisse vouloir dire lorsqu’on parle de jeu vidéo, autrement dit de divertissement, mais pour un gosse qui a grandi en se documentant religieusement sur tout ce que l’Égypte antique a pu laisser comme reliques, c’est du pain béni. D’autant que je n’ai personnellement eu que rarement l’occasion d’arpenter des décors aussi arides ou tropicaux, n’ayant pas été tenté par des Star Wars : Outlaws, Atlas Fallen ou Avatar : Frontiers of Pandora, qui me semblaient tous, de loin, assez médiocres. Comme beaucoup d’Open World finalement, constat qui n’engage que moi bien sûr.
De là à recommander cet épisode plutôt que tout autre jeu vidéo du même genre ? Absolument pas. Tournez vous plutôt vers un Ghost of Tsushima beaucoup plus ambitieux et captivant. Ce que j’ai aimé, dans Assassin’s Creed Origins, c’est à dire pas grand chose finalement, je l’ai aimé parce que je suis moi, un fervent défenseur des expériences courtes, originales et linéaires. Tout ce que ce jeu vidéo n’est pas. Alors bien sûr, selon votre profil, vous saurez peut-être trouver des qualités à son aventure massive, et serez peut-être moins irrités par son dirigisme presque autoritaire, son HUD agressif, et son écriture déficiente. Personnellement, je ne me remet toujours pas de la relation de Bayek avec sa femme, Alya, tous deux se sautant dessus comme des adolescents à peine pubères dès qu’ils se croisent, alors que tout le propos de l’aventure tourne autour de la mort brutale de leur fils et leur quête de vengeance. Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez ces gens ? Aucune idée, mais au moins j’ai bien rigolé. Constat que je tire aussi de tout ce qui gravite autour de l’histoire dans sa globalité, puisque la subtilité semble avoir déserté. Assassin’s Creed Origins, c’est donc une expérience Fast Food, qui se savoure par petites sessions, sans quoi ses défauts récurrents donnent rapidement la nausée.

Hermite en devenir, depuis longtemps l'esprit égaré dans de vieux livres, j'ai échoué dans ces colonnes dans l'espoir de partager autour de mon monstrueux Backlog, ou à l'occasion de mes grands amours que sont Biohazard et le J-RPG.
J’étais d’accord avec toi jusqu’à ce que tu critiques les sashimis. Tu peux prends pour qui ? Non mais ohhhhhhhhhhh c’est super bon les sashimis !!! 😀 Comment ca c’est pas le sujet principal ? ^^ En tout cas cet opus tout comme les deux autres opus principaux de la licence que sont Odyssey et Valhalla ne m’ont clairement pas donné envie d’y jouer d’une part car le coté RPG sur cette série ca me saoule, mais surtout le fait de devoir se taper des missions secondaires pour pouvoir avancer dans l’histoire principal c’est sans moi. Déjà que les histoires des AC ne sont pas transcendantes alors si en plus on doit obligatoirement se taper des trucs encore plus insipides (et normalement totalement optionnels) alors non merci.
Merci pour ta critique en tout cas c’est juste dommage que tu n’ai pas montré à l’écran la bouillie visuelle que sont les cartes des AC et leurs points de désintérêts, et le HUD qui indique beaucoup trop de choses à l’écran ad nauseam.
J’ai préféré épargner à l’œil du lecteur ladite bouillie visuelle, au profit de quelques images plus agréables. Mais c’est vrai que j’illustre peut-être mal mon propos.
Ce qui me rend dingue, c’est qu’à avoir regardé du coin de l’oeil ma femme faire Odyssey et Valhalla, ils me semblent encore plus conséquents, et pas plus intéressants… Je veux bien que ce soit des jeux adressés au joueur casual, mais quel joueur casual a le temps pour un truc aussi massif, et l’envie de perdre une semaine de sa vie sur une histoire minable ?
Et sinon, sashimi > raclette, je pose ça là.
[…] offerte à la malheureuse victime. Le gameplay est, vous l’aurez compris, aux antipodes d’un Assassin’s Creed. Et ce type de stratégie est le fruit de pérégrinations et luttes acharnées pour feinter […]