Alors que L’Année du requinShark Bay, The Reef: Stalked et The Requin ont atteint nos rivages en cet été 2022 qui bat des records de chaleur, retour sur quelques films de requins à regarder avant d’aller faire un tour à la plage. Oserez-vous la baignade en eaux profondes ?

Sommaire

Diapositive précédente
Diapositive suivante

47 Meters Down

47 Meters Down

Une expédition d’observation des requins tourne au cauchemar. Deux soeurs se retrouvent bloquées au fond de l’océan dans une cage d’observation. Lorsque le cable de la cage se brise, le manque d’oxygène les guette, de même que des grands requins blancs, attirés par le sang…

Entre la claustrophobie et la squalophobie, c’est à nos peurs les plus profondes que ce drame horrifique s’attaque. Angoissant et non dénué de surprises scénaristiques (malgré un schéma très classique), ce shark movie sérieux à l’ambiance pesante et aux attaques de requins glaçantes fait sensation. Ce survival animalier est donc ce qui est arrivé de mieux au genre depuis Les Dents de la mer ! 🦈🦈🦈🦈

47 Meters Down: Uncaged

47 Meters Down: Uncaged

Un groupe de filles décide d’aller nager près de ruines sous-marines au large des côtes brésiliennes. Elles vont vite se rendre compte qu’elles ne sont pas seules sous l’eau…

Très divertissante à défaut d’être crédible, cette série B horrifico-catastrophe qui ménage les apparitions (marquantes) de ses requins, est un survival à la tension omniprésente et aux attaques (surprises) hargneuses. 🦈🦈🦈

Bait

Bait

Alors qu’un Tsunami vient de frapper une ville balnéaire, un groupe d’individus se retrouve piégé dans un supermarché inondé, devenu également le refuge et le terrain de chasse du plus dangereux des prédateurs…

Ce huis clos horrifique est une série B de luxe qui n’évite ni les clichés ni la prévisibilité d’un scénario simpliste, mais l’exploitation judicieuse de l’unité de lieu, le développement inattendu des individus piégés, les attaques brutales et gores de requins (qui font vraiment froid dans le dos) ainsi que les SFX souvent solides (les animatroniques sont impressionnantes alors que certains CGI sont trop visibles comme l’affreux plan final) qui leur donnent vie, en font un shark movie jouissif et effrayant au quota horrifique plus que respecté. 🦈🦈🦈

Dark Tide

Dark Tide

Après la mort de son mentor, tué par un requin, Kate est devenue guide touristique en Afrique du Sud. Paniquée à l’idée de retourner dans l’eau, elle a renoncé à sa passion. Mais le retour de son ex mari bouleverse sa vie et l’oblige à affronter ses démons pour une dernière plongée au milieu des requins. L’expérience va virer au cauchemar…

D’un point de vue cinématographique il y a beaucoup à redire sur Dark Tide comme le fait que les acteurs sont insignifiants (Halle Berry et Olivier Martinez devaient plus roucouler lors du tournage que penser à interpréter des personnages), que le scénario n’est pas d’un grand intérêt, que les personnages ont des réactions loin d’être logiques (l’évolution trop violente de Kate Mathiesen) et que les sensations en eaux profondes sont absentes, mais voilà le film porte un regard authentique sur les requins sans les diaboliser (enfin !) et passe son temps à en observer de vrais (très peu de trucages ici) lors de scènes sous-marines fascinantes. Hors de l’eau le drame importe donc peu (un doux euphémisme), mais sous l’eau l’aventure prend finalement tout son sens. 🦈🦈

En eaux troubles (The Meg)

En eaux troubles

Missionné par un programme international d’observation de la vie sous-marine, un submersible est attaqué par une créature gigantesque qu’on croyait disparue. Sérieusement endommagé, il gît désormais dans une fosse, au plus profond de l’océan Pacifique, où son équipage est pris au piège. Il n’y a plus de temps à perdre : Jonas Taylor, sauveteur-plongeur expert des fonds marins, est engagé par un océanographe chinois particulièrement visionnaire…

Jason Statham vs. Mégalodon, c’est un peu le programme « harponnant » de ce blockbuster tout public. Et s’il évite tout bain de sang (la machine à dépecer ne bouffe finalement pas grand-chose), il assure parfaitement le divertissement avec ses séquences musclées et ses effets spéciaux impressionnants. Mordez donc à l’hameçon ! 🦈🦈🦈

Ghost Shark

Ghost Shark

Une petite ville est confrontée à la menace d’un requin fantôme en mer comme sur la terre ferme : la moindre flaque d’eau lui permet ainsi d’attaquer ses victimes…

Après les requins pieuvres, les requins des sables, les requins à deux têtes et récemment les requins des neiges, voilà que SyFy nous « offre » le requin fantôme (!) dans ce nanar bien débile, où les échanges sans aucun intérêt entre les protagonistes (joués par des acteurs au talent limité) sont heureusement entrecoupés de scènes d’attaque sanglantes et funs dans lesquelles le requin, très mal incrusté à l’écran, est capable d’apparaître dans une piscine, une baignoire, des canalisations, des jets d’eau et même dans un estomac (!!!). C’est profondément con et objectivement très mauvais, mais les fans de nanars devraient tout de même le trouver sympathique. 🦈

Instinct de survie (The Shallows)

Instinct de survie

Nancy surfe en solitaire sur une plage isolée lorsqu’elle est attaquée par un grand requin blanc. Elle se réfugie sur un rocher, hors de portée du squale. Elle a moins de 200 mètres à parcourir à la nage pour être sauvée, mais regagner la terre ferme sera le plus mortel des combats…

Cette série B estivale portée par une Blake Lively sexy est un survival animalier au scénario astucieux et au suspense implacable, dont les apparitions du terrifiant prédateur procurent de brusques montées de stress. Un shark movie intense qui prend aux tripes. 🦈🦈🦈🦈

Le Monde de Nemo

Le Monde de Nemo

Dans les eaux tropicales de la Grande Barrière de corail, un poisson‐clown du nom de Marin mène une existence paisible avec son fils unique, Nemo. Redoutant l’océan et ses risques imprévisibles, il fait de son mieux pour protéger son fils. Comme tous les petits poissons de son âge, celui‐ci rêve pourtant d’explorer les mystérieux récifs…

Aux côtés de créatures marines à la personnalité bien trempée, plongez dans un océan de toute beauté pour vivre une aventure drôlement « écaillante » où la satire et l’émotion ne rêvent pas de s’éloigner du rivage ! 🦈🦈🦈🦈🦈

Les Dents de la mer (Jaws)

Les Dents de la mer

À quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d’Amity sont mis en émoi par la découverte sur le littoral du corps atrocement mutilé d’une jeune vacancière. Pour Martin Brody, le chef de la police, il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d’un requin. Il décide alors d’interdire l’accès des plages mais se heurte à l’hostilité du maire uniquement intéressé par l’afflux des touristes. Pendant ce temps, le requin continue à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs…

Né d’un processus de production catastrophique, Les Dents de la mer a pourtant réussi à s’imposer comme un classique du cinéma américain où se côtoient acteurs épatants, répliques mythiques, atmosphère anxiogène, séquences cultes (l’intro toute en suggestion) et musique emblématique de John Williams. À la source de nos terreurs aquatiques, cette œuvre fondatrice d’un genre n’a pas fini de terroriser les baigneurs. 🦈🦈🦈🦈🦈

Les Dents de la mer 3

Les Dents de la mer 3

Michael Brody et Sean Brody, les deux fils du chef de la police Martin Brody de la ville plaisancière d’Amytiville, ont bien grandis. Après que leur père a affronté deux fois la terreur des mers, le Grand Requin Blanc, une espèce animale mangeuse d’hommes de plus de sept mètres de long, ils se sont installés en Floride où ils travaillent pour un célèbre parc aquatique englouti dans la mer, dirigé par Calvin Bouchard. Peu de temps après l’ouverture du parc, l’équipe récupère dans les fonds marins un bébé requin, qui meurt sur les tables du laboratoire scientifique du parc. La mère du requin veut récupérer son petit, et elle sait qu’il se trouve quelque part dans le parc. Celle-ci décide donc de passer à l’attaque et de détruire le Sea World…

Plus attraction de parcs de loisirs qu’œuvre cinématographique, ce 3e opus à l’idée de départ séduisante prend rapidement l’eau et a bien du mal à ne pas couler. De sa mise en scène statique à son casting au rabais, en passant par son requin géant peu vorace et ses attaques soft, Les Dents de la mer 3 ne vaut son ticket d’entrée que pour le spectacle stéréoscopique (le film a été capté en Arrivision 3D) généreusement démonstratif qu’il propose. Inutile donc de préciser que dans sa version plate (aux trucages d’autant plus ringards), cet épisode ne peut que sombrer. 🦈🦈

« Un requin ! Un requin ! Il y a un requin dans l’estuaire ! »

Open Water

Open Water

Susan et Daniel sont venus aux Bahamas pour se détendre, et ils en ont bien besoin. Adeptes de la plongée, ils s’inscrivent pour une sortie sur la barrière de corail. Parce que le bateau est trop plein, parce que l’équipage ne fait pas vraiment attention, ils se retrouvent seuls, perdus au large, dans des eaux infestées de requins…

Tiré d’une histoire vraie, ce huis clos aquatique nous sert de l’épouvante blanche où l’imagination est éprouvée dès que les eaux profondes, refuges de l’invisible, s’animent. Loin des artifices (faciles) de l’horreur contemporaine, la terreur glaçante pique une tête ! 🦈🦈🦈🦈

Peur bleue (Deep Blue Sea)

Peur bleue

Le docteur Susan McAlester est persuadée de pouvoir remédier à la dégénérescence du cerveau humain à l’aide de protéines de requins. Elle travaille avec une équipe de biologistes au centre de recherche Aquatica, un vaste complexe offshore, où ils se livrent a des expériences aussi secrètes que dangereuses. C’est ainsi que le docteur Susan McAlester n’a pas hésité à recombiner l’ADN de deux grands requins au mépris de l’éthique médicale et de la plus élémentaire prudence. Susan et ses partenaires en font ainsi de terrifiantes machines à tuer…

Avec beaucoup d’action, une pointe d’horreur, une once de suspense et une pincée d’humour, Peur bleue est un survival fun, sans complexe et pas prise de tête qui confronte ses personnages peu chanceux à un trio de requins affamés. Le scénario est assez original, les requins sont terrifiants (malgré quelques effets numériques un peu limite), le rythme est tendu, les scènes d’action en mettent plein la vue et les protagonistes, même s’ils manquent de profondeur, sont sympathiques et interprétés par des comédiens talentueux. Un bon tour en montagne russe ! 🦈🦈🦈🦈

Peur bleue 2

Peur bleue 2

Lorsque Misty Calhoun, spécialiste de la conservation des requins, est invitée à consulter un projet top secret du milliardaire pharmaceutique Carl Durant, elle est choquée d’apprendre que l’entreprise utilise des requins taureaux imprévisibles et très agressifs comme sujets de test, qui se déchaînent rapidement et causent des ravages…

Cette suite tardive sortie des abîmes est une série B (voire Z par endroit) qui surfe sur la mode du shark movie débilo-horrifique. D’ailleurs plus reboot que suite au sous-estimé premier opus, cette nouvelle mésaventure dans les profondeurs de l’océan qui reprend la structure de l’intrigue (malgré une petite nouveauté de « taille ») et certaines scènes emblématiques de sa grande sœur, souffre de personnages clichés interprétés par des acteurs peu crédibles, de situations bateaux jamais effrayantes et d’un ton ridiculement sérieux. Étonnamment, c’est grâce à ses SFX pas dégueux et ses morts graphiques que cette toute petite production évite le naufrage complet. 🦈🦈

Peur bleue 3

Emma Collins, une éminente biologiste marine, et son équipage ont installé un laboratoire au milieu de l’océan, au-dessus d’une ville insulaire qui a été engloutie, afin d’observer l’accouplement des grands requins blancs. Malheureusement, les requins-taureaux améliorés sont également là avec leur propre objectif d’évolution : se croiser avec les grands requins blancs, plus imposants et plus rapides, afin d’engendrer une nouvelle race de squales…

Requinquée, la saga Peur bleue respire avec ce 3e opus où des figurants servent de chair à squale lors de séquences souvent jouissives où le shark-porn est aussi bourrin que généreux en barbaque. Budget réduit mais plaisir bis garanti ! 🦈🦈🦈

Shark 3D

Shark 3D

Au soleil de l’été, Sara et ses amis sont bien décidés à passer un week-end de pur fun sur une petite île privée d’un immense lac salé de Louisiane. Pourtant, lorsque Malik, le jeune footballeur vedette, sort d’une séance de ski nautique inconscient avec un bras en moins, l’ambiance n’est plus à la fête. Convaincue qu’il s’agit d’un accident, la petite bande embarque sur un speedboat afin de conduire le blessé à l’hôpital de toute urgence, mais les jeunes gens vont vite s’apercevoir que le lac est infesté de requins ultra agressifs…

Cette série B luxueuse qui s’adresse à un public assez large (ni gore ni nichons à l’inverse de Piranha 3D) est un divertissement efficace au scénario simpliste mais surprenant (l’origine de la présence des prédateurs marins) qui évite le second degré pour se la jouer slasher avec des requins… Et cela fonctionne plutôt bien car les attaques (réalistes ou pas du tout) sont aussi nombreuses que spectaculaires et mettent en scène un requin différent à chaque fois (requin marteau, squalelet féroce, requin blanc, requin mako, requin taureau et requin bouledogue). Pas vraiment inoubliable ni même effrayant mais suffisamment distrayant pour les fans de squales. 🦈🦈🦈

Sharknado

Sharknado

Un ouragan s’empare de Los Angeles. Des milliers de requins s’abattent sur la ville et terrorisent la population. Fin, un surfer également propriétaire de bar, accompagné de ses amis Baz et Nova, part à l’aventure afin de sauver son ex-femme April et leur fille Claudia…

Précédée d’un énorme buzz, cette production The Asylum au concept aussi débile qu’improbable à base de tornades démesurées remplies de requins affamés tient étonnamment bien ses promesses, et s’érige comme un nanar cartoonesque terriblement fun où les scènes WTF (les requins qui nagent entre les voitures, le héros qui abat les squales avec un revolver alors qu’ils sont dans les airs, un personnage qui coupe en deux un requin avec une tronçonneuse, le sauvetage des enfants dans le bus, le requin-marteau qui écrabouille un passant, le final avec l’hélicoptère) jamais dénuées de sang, les acteurs enthousiastes, les effets spéciaux douteux et les faux raccords rigolos (le niveau de l’eau n’est jamais le même, le ciel passe d’un plan à l’autre de dégagé à couvert, les voitures circulent en arrière-plan comme si de rien n’était) combleront les nanardeux et/ou les curieux. Un véritable plaisir coupable ! 🦈🌪️

Sharknado 2

Sharknado 2

L’invasion des requins continue et frappe New York après un dérèglement climatique…

Cette séquelle du cultissime nanar cartoonesque Sharknado va encore plus loin que son prédécesseur et s’érige comme un jubilatoire feu d’artifice au mauvais goût assumé. Le concept aussi débile qu’improbable à base de tornades démesurées remplies de requins affamés passe à la vitesse supérieure, les scènes WTF repoussent les limites du raisonnable (le héros chevauchant un requin en pleine tornade !!!), les clins d’œil sont amusants (la scène d’intro façon Y a-t-il un pilote dans l’avion ? ou encore Tara Raid qui se prend pour Ash de Evil Dead 3), les effets spéciaux plus ou moins numériques sont bien douteux, les faux raccords comme les innombrables incohérences sont rigolos, les répliques sont ridiculement drôles, les acteurs ne sont jamais crédibles et les caméos (Robert Hays en pilote de ligne, Kelly Osbourne en hôtesse de l’air, Judah Friedlander en fan des Mets, Richard Kind en star déchue du base-ball, Kurt Angle en sapeur-pompier et j’en passe un paquet) s’entassent à la vitesse des victimes des requins. Quand l’absurdité et la nullité frisent le génie ! 🦈🌪️

Sharknado 3

Après avoir fait des ravages à Los Angeles, puis à New York, la troisième tornade de requins fait un retour destructeur dans la capitale des États-Unis, juste au moment où Fin se rend à la Maison Blanche. Après avoir détruit Washington D.C., la ’Sharknado’ détruira tout sur son passage jusqu’aux côtes de Floride, où April, enceinte de 9 mois attend impatiemment Fin. Alors qu’il rejoint sa famille au plus vite, des centaines de tornades de requins font alors leurs apparitions pour ne former plus qu’une tornade géante, qui menace de détruire toute la côte Est. Fin réalise qu’il va devoir trouver une solution, qui ne se trouve peut-être pas sur Terre…

Encore plus de tornades, de requins, de gore, de fun, de SFX, de caméos et de scènes WTF pour cet opus complètement barré qui ne se prend jamais au sérieux. 🦈🌪️

Sharknado: The 4th Awakens

Sharknado: The 4th Awakens

La tempête porteuse de requins tueurs est de retour et la cible des squales est à présent Las Vegas. Après avoir ravagé la ville alors qu’une tempête de vent les libèrent d’un parc d’attraction, la ’Sharknado’ se déplace et frappe plusieurs états du centre des États-Unis sans façade maritime par une série de tornades continentales. En se déplaçant et frappant diverses installations (barrage Hoover, champ de pétrole, transformateur électrique, centrale nucléaire), la tornade change de nature en se chargeant de matières de plus en plus dangereuses : poussières, pierres, pétrole, feu, électricité à haute tension, et même radioactivité. Toute la famille Shepard, enfin réunie, va devoir unir ses forces pour en venir à bout…

Des références à gogo (Christine, Magic Mike, Twister, Iron Man, Star Wars et j’en passe), des caméos en veux-tu en voilà (Duane « Dog » Chapman, Gena Lee Nolin, etc.), des tornades encore et encore (de sable, de feu, d’électricité, de…), des SFX foireux et des scènes toutes plus portnawaks les unes que les autres pour ce nanar absurde et fendard. Et pour les adeptes des « Dents de l’amour », sachez que la saga s’est encore prolongée avec Sharknado 5: Global Swarming (2017) et Sharknado 6: It’s About Time (2018). 🦈🌪️

USS Indianapolis

USS Indianapolis

L’histoire vraie de l’équipage de l’USS Indianapolis, qui s’est échoué en mer des Philippines pendant cinq jours après avoir livré des armes nucléaires censées mettre un terme à la Seconde Guerre mondiale. Alors qu’ils attendaient les secours, ils ont subi la soif, la faim et les incessantes attaques de requins…

La tragédie de l’USS Indianapolis, probablement la plus grande catastrophe navale de l’histoire, méritait mieux que ce drame de guerre au budget serré où de lamentables CGI font prendre l’eau à une intrigue pourtant très intéressante. 🦈

« Personne ne connaît la longévité des requins. Ils vivent deux mille, trois mille ans, on en sait rien, c’est le noir total... »

Nyctalope comme Riddick et pourvu d’une très bonne ouïe, je suis prêt à bondir sur les éditions physiques et les plateformes de SVOD. Mais si la qualité n'est pas au rendez-vous, gare à la morsure !

0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notifier de
guest
0 Commentaires
Commentaires sur Inline
Voir tous vos commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x