Verdict
Successeur spirituel de F.E.A.R. version indé, Trepang² a de sérieux atouts à faire valoir, à commencer par son ressenti viscéral de tous les instants lors des fusillades et sa propension à dégager une force brute qui nous rappelle parfois l'ardeur des échauffourées les plus âpres de Max Payne 3. Fluide, nerveuse, ultraviolente et quasi-exempte d'accrocs techniques à la sortie, l'œuvre des développeurs de Trepang Studios impressionne par sa forme. Malheureusement, tout cela ne suffit pas à rendre l'expérience aussi mémorable qu'on l'aurait souhaité, la faute à un level design indigent, à des combats de boss désuets et à un manque de mise en scène et de liant généralisé qui donne le sentiment un peu trop tenace que la campagne a été bricolée sans fil directeur autour du mode Horde. Si Trepang² tire légèrement à côté de sa cible, il n'en demeure pas moins un FPS hautement recommandable, voire difficilement dispensable pour tous les nostalgiques de F.E.A.R et afficionados de démembrement virtuel.
Je me doutais que le level design et l’enrobage seraient son point faible. On peut pas forcément faire de miracles avec une si petite équipe.
Je t’ai déjà posé la question en off mais on va faire style que tu ne m’as pas donné la réponse ^^ Est-ce qu’il y a une note attribuée à chaque fin de niveau comme pour un BTA ou un Resident Evil par exemple ? Sinon très bonne critique, mais s’attaquer à GeOW en omettant de parler du Lanzor et de sa tronçonneuse magique c’est HONTEUX !!
SHAME SHAME SHAME !
Malheureusement non, dommage ça aurait en effet été sympa. Le jeu va droit au but, c’est pas très subtil 🙂