17 janvier 2023. Réveil aux aurores pour prendre le Thalys, direction Paris. Les paysages gris de la Somme encore endormis défilent. Me voilà parti à la rencontre du cinéaste Michel Ocelot, après l’avoir timidement abordé pendant les vacances d’hiver.
Un rêve éveillé
En sortant de la gare, je profite de mon avance pour me balader dans les rues et me refuser aussi longtemps que possible à l’effrènement de la ville. Les Parisiens ont timidement commencé leurs journées et déambulent sur les trottoirs. Les voitures défilent sur la rue Lafayette. Abritées dans l’entrée d’un théâtre, des actrices chauffent leurs voix et enchantent les environs. Des badauds promènent leurs chiens. Malgré les gants, le bout de mes doigts frétille face à la morsure du froid.
Arrivé face à la lourde porte, mon appréhension est à son comble. La peur de l’inconnu. Les noms défilent sur la sonnette. Mes questions sont prêtes, j’ai eu mes premières réponses, ai écouté plusieurs interviews qu’il a déjà pu donner, plus ou moins récentes. S’affiche finalement en grandes lettres capitales « OCELOT ». Pourtant, je n’ai aucune idée de ce qui va se passer lorsque je franchirai le pas de son appartement. Pas de réponse à mes coups de sonnette répétés. Attaqué par le froid, je me réfugie dans une église avoisinante.
La quiétude du lieu m’assagit et me permet de reprendre pied. Je me perds dans la contemplation des vitraux et différentes chapelles ; je lis tout ce qui me tombe sous la main. Finalement, mon téléphone vibre. De l’autre côté du combiné, mon hôte s’excuse et m’indique qu’il m’attend impatiemment. Je retourne en grandes foulées face à la grande porte cochère. Cette fois-ci, elle s’ouvre sur une petite cour. Puis sur une volée d’escaliers qui s’enroulent jusqu’aux combles. Arrivé en haut, on m’ouvre la porte.
Chose rare, un feu crépite dans la cheminée. Mon hôte, encore confus de m’avoir fait attendre dans le froid, s’agite en tous sens, apparaissant et disparaissant à loisir du salon où il m’a installé. C’est une pièce chaleureuse. Les poutres apparentes donnent du relief au plafond, de grandes fenêtres laissent entrer les doux rayons du soleil. Ambiance sfumato façon « de Vinci ». Dans ce qui semble un dernier aller-retour, on m’amène une carafe remplie de café, que je refuse poliment. Le temps de préparer du thé de Brocéliande, l’entretien formel est repoussé de quelques minutes. En attendant que l’eau boue, nous faisons connaissance : les politesses sont échangées, les présentations sont faites. Finalement, Michel Ocelot me rejoint, armé encore d’une dernière surprise qu’il pose sur la table basse : une tarta de Santiago. Son hospitalité réchauffe la grise Paris hivernale.
Regard critique sur son dernier film
Il serait difficile de décrire les manières de M. Ocelot en quelques mots. A la fois sûr de lui et capable d’une certaine autocritique, il peut subitement perdre son regard, effaré comme un enfant devant la beauté du Soleil ou se remémorant les nombreux films qu’il a vus. Parfois, il hésite, réfléchit longuement avant de ne prononcer ne serait-ce qu’un seul mot. A d’autres questions, il répond avec des opinions qui sont comme des vérités que l’on ne peut pas refuser. Il n’a pas réponse à tout, mais s’efforce de faire au mieux. Alors que nous explorons tour à tour sa vision du monde de l’animation, des techniques qui l’entourent, le tout entrecoupé d’anecdotes personnelles et de digressions littéraires, nous abordons tout naturellement ses dernières actualités, la sortie et la réception du public de son dernier film : Le Pharaon, Le Sauvage et La Princesse.
Un film dissonant dans sa forme (trois moyens-métrages réunis pour en former un long), ce qui a pu dérouter plus d’un spectateur. Dans sa voix, je sens percer une note de déception, face à la relative herméticité du public face à cette réunion de contes. Une réception qui n’est pas partagée par les distributeurs, pour lesquels le film a su trouver un public au-delà de leurs espérances en accumulant plus de 600 000 entrées…
Pourtant, il y a là trois histoires bien différentes qui éclairent chacune à leur manière l’une des facettes de ce grand conteur et montre bien le travail d’un auteur accompli. « Pharaon ! » exhale l’amour d’Ocelot, les grandes civilisations de notre passé et ces soupçons de mystique qui peuvent pimenter un récit, mais aussi sa rigueur et son respect pour l’Histoire. Pour ce film-ci, un travail de recherche important a notamment été fait en amont avec l’aide de Vincent Rondot, le directeur du département des antiquités égyptiennes du Louvre. « Le Beau Sauvage », quant à lui, utilise la silhouette noire, une de ses techniques phares et désormais indissociable de sa filmographie. « La Princesse des roses et le Prince des Beignets » porte sa volonté continuelle d’explorer les nouveaux terrains que la technologie offre à l’animation. Voici donc trois des multiples facettes par lesquelles Michel Ocelot se dévoile et révèle toute sa personnalité d’auteur.
Un film, pour lequel, au moment de l’interview, il s’apprêtait à diriger le doublage italien. L’occasion de m’expliquer les difficultés de l’adaptation. Ce qu’il appelle la recherche du « synchrone » et du « juste ». Trouver l’équilibre entre des expressions naturelles et les dialogues originaux. Un travail qui s’avère plus simple pour le réalisateur, lorsqu’il s’agit de l’italien (qu’il maîtrise dans les grandes lignes), mais pour lequel il doit laisser les rênes avec des langues plus exotiques. Et ce, malgré son plaisir à la tâche.
La révolution Kirikou
Si nous avons abordé d’autres contrées au fil de notre discussion, c’est très rapidement celle de Kirikou qui s’est imposé comme un passage obligé. Devenu aujourd’hui un jalon de l’histoire de l’animation française, nous avons parlé ensemble de ce que Kirikou et la Sorcière, le premier film de la trilogie, sorti en 1998, a pu changer à l’époque… Et c’est même tout un monde qu’il a réussi à révolutionner ! On peut réellement parler d’un « avant » et d’un « après » Kirikou. Pour des raisons industrielles tout d’abord. La sortie de ce film a modifié en profondeur le fonctionnement de l’animation en France.
Comme aime à le rappeler Michel Ocelot, l’animation française est peu présente au cinéma tout au long du XXe siècle. Seuls de rares films sortent, comme Le Roi et l’Oiseau de Paul Grimault (1980) ou La Planète Sauvage de René Laloux (1973), qui restent de l’ordre de l’exception. Sous l’impulsion du gouvernement français, l’animation n’est développée que dans un seul domaine : celui de la série télévisée. Un univers qui n’intéresse pas Ocelot et qui s’y refuse à travailler, malgré les offres d’emploi qu’on a pu lui soumettre.
A plusieurs reprises au cours de l’entrevue, il a su réaffirmer sa force de caractère et sa volonté : celle de ne faire que ce qui lui plaît, et ce, malgré les conséquences. Kirikou et la Sorcière ébranle à sa sortie cet ordre établi. Des quelques milliers d’entrées attendues, le film finira par dépasser le cap symbolique du million. Aux yeux de son réalisateur, il est un véritable électrochoc qui inscrit dans le marbre international la capacité de l’animation française à produire des succès critiques, humains et commerciaux.
Succès doublement commercial même, car la sortie du film s’inscrit aussi dans l’âge d’or de la vidéo. Les ventes des vidéos du premier volet des aventures de Kirikou dépassent celles des films américains du moment. Si Kirikou peut être considéré comme un coup de poker qui a rapporté gros, il ne faut pas oublier qu’il y a derrière les recettes, un succès critique, mais avant tout humain. C’est d’ailleurs de cela dont Michel Ocelot parle avec le plus d’émotions. L’inattendu derrière cette grande aventure humaine.
Il le définit lui-même, non pas comme du succès, de l’adoration ou du fanatisme, mais bien de l’Amour. Celui que lui portent toutes ces personnes qui ont vu ses films. En entendant ces mots, on ne peut qu’imaginer l’effusion des larmes de bonheur, les voix qui s’étranglent, les mots bloqués au fond de la gorge, l’émotion à fleur de peau de tous ces admirateurs. A l’entendre, cet Amour me semble avoir une valeur bien plus précieuse à ses yeux que tout le reste.
C’est la satisfaction d’un conteur d’avoir su bercer toute une génération. Alors qu’il continue à me parler de ce tout, je vois des images nettes et bien réelles défiler au fond de son regard. Et ce, sans partager une quelconque anecdote. C’est aussi là toute l’humilité d’un artiste qui ne se met pas en avant. Qui m’a simplement accueilli, chaussé confortablement et vêtu d’un pull-over casanier.
L'histoire : clé de voûte du cinéma
Alors que le thé se boit à petites gorgées brûlantes et que le gâteau se déguste sans en perdre une miette, nous prenons du recul et abordons l’animation dans son ensemble. Des aspects qui différencient ou non le film d’animation de la prise de vues réelles. Cependant, notre discussion divague et nous nous retrouvons à parler des fameuses silhouettes noires, devenues malgré lui l’une de ses marques de fabrique. Pour expliquer ce qui le fascine avec ces silhouettes, il prend l’exemple d’un chien. Pour l’animal, elles ne sont rien. De simples formes vides de substance. Alors que chez un humain, le cerveau crée l’intensité émotionnelle par sa puissance d’imagination. Vient là la mention d’un organe important pour le réalisateur, qu’il cite à plusieurs reprises tout au long de l’entretien.
Il est pour lui le centre de l’imagination et de la création. Là où se crée et se forme les plus belles histoires. L’histoire est pour lui la clef de voûte du cinéma ; l’ingrédient essentiel qui peut déterminer à lui seul si un film est bon ou mauvais. Ce qui n’est pas une surprise, lorsque je regarde à nouveau derrière lui les étagères débordant de recueils de contes, de pièces de théâtre et autres romans. Des livres qui l’animent et lui fournissent les ingrédients pour ses propres récits.
Nous repartons finalement là où nous nous étions perdus, dans les disparités qui existent entre animation et prises de vues réelles. Disparités que nous ne trouverons jamais : pour Ocelot, l’animation ne diffère pas tant de la prise de vues réelles. Si une certaine liberté peut se ressentir face à la planche à dessin, le sentiment de pouvoir tout dessiner sans contraintes rappelle que les limites résident en chacun de nous. Ces mêmes risques peuvent et doivent être pris avec la prise de vues réelles. Il prend l’exemple ambivalent de Picasso. Le peintre le fascine, car sa force de volonté lui a permis de violer toutes les règles d’un autre côté, il le trouve malhonnête, car il s’est enfermé dans son ouvrage, là où il avait cassé toutes les barrières et n’a jamais repris ce qu’Ocelot appelle le chemin de la beauté…
Un réalisateur entre ombres et de lumières
Si la liberté est supposément plus grande dans l’animation, il tient à rappeler la grande force de la prise de vues réelles : la possibilité de modeler la lumière à loisir. Une vraie passion se libère lorsqu’il évoque le sujet. Ses différentes caractéristiques, ses différents aspects : si Ocelot avait été un autre réalisateur, il aurait été un réalisateur de la lumière. Une idée que l’on retrouve dans son unique court-métrage non-animé : Pablo Paris Satie. Le corps et la chorégraphie du danseur Pablo Legasa ne semblent y être qu’un réceptacle pour capturer et magnifier les rayons rasants du soleil.
A demi-mot, Ocelot me confie que s’il devait travailler la lumière, il devrait recommencer petit. En réalisant des courts et des moyens-métrages. Il ne sait pas s’il aurait le temps de réapprendre toute une grammaire du cinéma. Son esprit semble déjà bouillonner de tant d’histoires qui n’attendent que d’être dessinées… Tant de choix, de possibilités à aborder.
Ce qui est certain en revanche, c’est qu’il ne fera jamais deux fois la même chose. Alors que l’entretien s’offrait un nouveau détour au sujet du récent remake de West Side Story par S. Spielberg, M. Ocelot me pose la question suivante : alors que la première version de 1961 est si réussie, comment peut-on s’atteler à reproduire le film de R. Wise ? L’idée n’aurait même pas pu lui effleurer l’esprit. Si je me permets de jouer l’avocat improvisé, parlant tour à tour d’hommage et de lettres d’amour du cinéaste, il me répond sèchement sur sa vision de l’Amour, presque cardinale. Celle d’une émotion qui le pousse à ne pas revoir les films, car il cherche farouchement à maintenir l’émerveillement originel. Celui de la première fois, lorsqu’il s’est installé au fond de ce fauteuil et a vu les images s’animer devant lui.
S’il concède toutefois qu’un second visionnage peut être aussi bon, quoique moins impactant, il se refuse à plus. Il n’est ni un bon client, ni un consommateur, mais bien un spectateur, cherchant toujours à surpasser ses découvertes précédentes. Revoir inlassablement les mêmes films relèverait de la mesquinerie.
Stéréo-escroquerie ?
Au milieu de ces réflexions théoriques, une technologie particulière est revenue à chaque fois, parasitant tous les autres sujets. Il l’abhorre et, selon son opinion, elle ne semble pas avoir d’avenir au cinéma, malgré ces retours incessants ces dernières années : la stéréoscopie. Une technologie qu’il ne critique pas sans la connaître, l’ayant lui-même utilisé à l’occasion de son long métrage Les Contes de la Nuit, l’une de ses anthologies animées à l’aide de ses traditionnelles silhouettes noires.
Au premier abord, elle lui a même plu et séduit, avec tout ce qu’elle promettait. Il raconte avoir pris du plaisir à penser l’un de ses contes en stéréoscopie ; avoir été ébahi en en faisant l’expérience dans une cité des sciences. C’est à l’occasion d’une ressortie cinéma de plusieurs de ces précédents contes, pour lesquels un traitement stéréoscopique a été appliqué sur certains éléments, qu’il change radicalement d’opinion. Un ajout inutile, digne d’une escroquerie. Et, pour cause, l’effet désiré ne fonctionne pas. Le fonctionnement de la stéréoscopie résiderait dans la lenteur, car les mouvements rapides ne laissent pas le temps au cerveau d’assimiler les informations en relief.
Ce sont donc bien les promesses d’utilisation de la technologie comme mécanique de grand spectacle qu’il semble pointer du doigt. Car la vitesse inhérente à ce genre de films est à contrepoint de cette 3D. Et lorsque le mouvement stéréoscopique est suffisamment lent pour que le procédé fonctionne, M. Ocelot le considère de toute manière limité par le tour de l’écran. Une limite physique qui définit pour lui l’univers du film et que le spectateur voit constamment. Il est alors ridicule pour le film stéréoscopique d’essayer de s’affranchir des limites de la profondeur, alors qu’il reste inéluctablement emmuré sur sa hauteur et sa largeur.
La stéréoscopie n’est pas faite pour le monde du cinéma, mais selon lui, a bien plus sa place dans une attraction de foire. Avec humour, il ajoute qu’en 2009, une pub de confiseries précédant le premier volet d’Avatar a bien plus marqué les esprits pour sa stéréoscopie que le film lui-même
Limitée dans son usage, la stéréoscopie n’a pas la liberté à laquelle Ocelot semble avoir toujours été attaché. A plusieurs reprises, il évoque succinctement la misère qu’il a pu vivre avant le succès de Kirikou, refusant de se forcer à travailler sur des projets qui ne l’intéressaient pas. Il a bravé la faim et l’isolement campagnard pour animer ce qu’il voulait, comme il le voulait. Il le dit lui-même, il lui manque une qualité : savoir se vendre. Une manière de vivre qui lui complique chaque fois la recherche de financements. A ce propos, il refuse même d’envisager de faire un film produit par une plateforme étasunienne de SVOD. Leur goût des directives forcées, il ne veut même pas en entendre parler.
Une œuvre confrontée au puritanisme anglo-saxon
De plus, il sait que son univers n’est pas approuvé par tous. Si ces films reçoivent de bons échos lors des projections dans les pays anglo-saxons, celles-ci se font rares. Il est par exemple impossible d’envisager une diffusion de Kirikou sur les canaux de la BBC. Le zizi du petit garçon et les seins des villageoises, ça ne passe pas. Un monde anglophone qui, pour lui, peine à imaginer un auteur qui ne parle pas anglais. Un monde qui a eu besoin d’un film comme Kirikou pour avoir le déclic du protagoniste noir. Il en est convaincu. Si avant, ils ont pu avoir l’idée, ils ne l’avaient jamais mise en pratique.
Après de maints détours, après avoir abordé le sujet sous de nombreux aspects, nous revoilà face au sujet principal de la discussion qui nous a animés : le statut actuel de l’animation. Kirikou a bien tout changé à une époque, mais qu’en est-il aujourd’hui ?
Ici, Michel Ocelot offre une analogie avec la perception du grand public de l’univers de la bande dessinée. Si le IXe art a longtemps été vu comme réservé à la production jeunesse, il a fini par recevoir ses lettres de noblesse. A obtenir la reconnaissance d’un média exigeant et qui peut s’adresser à des publics plus avertis. L’animation prend ce chemin, mais plus lentement. Pour lui, le plus grand obstacle reste encore et toujours les financements. Les ressources et le nombre de personnes nécessaires à la réalisation d’un film en animation sont bien plus conséquents que pour un récit en cases. Tout le talent du monde reste alors pieds et poings liés, tant que les fonds n’ont pas été débloqués.
Ce qui est cependant certain pour Michel Ocelot, c’est que le nouveau statut de l’animation n’est pas éphémère, mais dévoile bien une évolution dans sa représentation. L’animation est désormais à la mode, et elle le restera.
Cette discussion arrive à sa fin. Désormais, les musées parisiens m’attendent. Sur le pas de la porte, nous nous promettons chacun de lire ces livres qui nous ont personnellement forgés. De nous donner des nouvelles. Tout excité d’avoir franchi un cap, d’avoir fait quelque chose de nouveau, je me précipite dans les escaliers. Le froid picote instantanément mon visage et se mêle à mon adrénaline. Quelques minutes plus tard, je ressors d’une librairie, la trilogie théâtrale de Beaumarchais entre les mains.
Encore petit fretin dans l'océan du cinéma, je nage entre les classiques et les dernières nouveautés. Parfois armé d'un crayon, parfois d'une caméra, j'observe et j'apprends des gros poissons, de l'antique cœlacanthe bicolore, du grand requin blanc oscarisé et des milliers de sardines si bien conservés.
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