Provenance : États-Unis | Éditeur : Arrow Films | Date de sortie : 24 septembre 2024
Format vidéo 2160p24 | Ratio 2.39 HDR10 | Dolby Vision | BT.2020 Encodage HEVC | DI 2K
Bande-son Anglais DTS-HD MA 5.1
Sous-titres Anglais
3.5/5
Artistique : 6.5 | Vidéo : 9.5 | Audio : 9.5
Il est porté à l’attention de nos chers lecteurs qu’outre le matériel de visionnage précisé et utilisé, le rendu peut différer d’une installation à l’autre, qu’elle soit calibrée ou non, de même que les préférences et attentes personnelles sont susceptibles d’influer sur la notation. De surcroît, les images (extraites du compte Patreon de Matt Paprocki) servent d’illustration et ne peuvent être considérées comme représentatives de l’édition testée.
Matériel et condition de test (Config. HP : 5.1.4) Diffuseur vidéo : Sony Bravia XR-65A95L (Dolby Vision sombre) Sources : Oppo UDP-203 Audiocom Reference | Zappiti Reference Enceintes : Sennheiser Ambeo Soundbar Max (DTS Neural:X), SVS SB-4000
ŒUVRE - Machette Kills Again
Jason Voorhees, un petit garçon difforme, assiste à la décapitation de sa mère psychopathe. Donné pour mort, il déambule dans la région abandonnée de Crystal Lake. Au fil des années, il acquiert une force surhumaine et une rage aveugle envers tous les adultes. Aujourd’hui, un groupe d’adolescents vont déclencher sa folie meurtrière…
Douzième opus de la saga et compil’ moderne des trois premiers épisodes, ce slasher pur et dur produit par Michael Bay (Transformers) et réalisé par Marcus Nispel (l’excellent remake de Massacre à la tronçonneuse) s’impose comme un retour aux sources salvateur qui prend certes « les mêmes » (des jeunes exaspérants, de la viande froide et des nanas topless) mais le fait avec le plus grand des sérieux. Dénué de tout second degré et plus gore que ses prédécesseurs (du moins dans sa version Killer Cut*), ce vaste jeu de massacre techniquement abouti n’a pas d’autre ambition que d’égrener les morts violentes là où son tueur psychopathe passe. Simple… mais efficace.
* Plus longue de neuf minutes avec l'ajout de plans « adultes » (plus de sang et de seins) et une nouvelle péripétie liée à la captive, elle est mieux rythmée et moins découpée lors des tueries.
« Hey, I'm not from around here, but I'm looking for my sister. She's gone missing. »
IMAGE - Retour à Crystal Lake
Restaurée et étalonnée chez Duplitech à partir du DI 2K, cette mise à l’échelle UHD avec étalonnage Dolby Vision (présentée sur des disques BD-100 triple couche) est proche de la perfection (aucune différence de qualité entre les deux montages) et restitue avec beaucoup de subtilité la photographie se lovant dans l’obscurité de Daniel Pearl. Le bitrate varie de 80 à 100 Mbps avec des pics pouvant s’élever bien au-delà.
Propre, stable et joliment organique (une captation 35 mm), cette image aux quelques douceurs inhérentes à la source affiche une définition affermie, des détails un peu plus raffinés (les gros plans sur les corps, les fibres textiles, les décors en arrière-plan) et une fine texture argentique plus étroitement résolue qu’en 1080p.
Naturellement apathique, la palette colorimétrique observe un certain délavement de ses teintes (la verdure y est moins luxuriante) pour mieux coller à l’ambiance morose des lieux. Les tons sont ainsi plus nuancés avec des nuits bleues froides (et non jaunes crasseuses comme le veut la coutume dans ce type de production) plus sophistiquées et des journées jaunes dorées plus diffuses. La carnation profite quant à elle d’un surplus de chaleur.
Et de concert avec l’intensité accrue des sources lumineuses (les flammes, la lumière des lampes de poche), les ombres profondes enveloppant les alentours du camp abandonné se voient nettement mieux délimitées grâce à des contrastes soigneusement ajustés. De fait, la superbe séquence d’intro en quasi noir et blanc saisit davantage.
SON - Sex, drugs, alcohol 🎶
Restituée sous 24-bit en DTS-HD MA 5.1 (3739 kbps pour la Theatrical Cut et 3741 kbps pour la Killer Cut), cette bande-son brutale ne fait vraiment pas dans la dentelle avec sa dynamique juste insensée (pour maximiser les sursauts) et sa propension à jouer du hors-champ (de nombreux bruits suspects à commencer par le craquement des branches dans les bois).
La spatialisation est palpable (le bruissement des feuilles, la pluie), l’engagement de la scène arrière flagrant (notamment lorsque son boogeyman vedette se trouve à proximité) et la réponse des basses fréquences véhémente (la foudre qui frappe, la violence sèche de Jason). Le score de Steve Jablonsky emplit l’espace acoustique avec agressivité et les dialogues sont clairement restitués.
CONCLUSION - Kill for Mother
Quintessence d’une franchise (en grosse partie ratée) gisant aujourd’hui au fond du lac (mais jusqu’à quand ?), ce Vendredi 13 direct et sans fioritures à trouver sur support 4K Ultra HD (des prestations A/V saignantes) le meilleur angle d’affûtage pour ses nombreuses lames !
Nyctalope comme Riddick et pourvu d’une très bonne ouïe, je suis prêt à bondir sur les éditions physiques et les plateformes de SVOD. Mais si la qualité n'est pas au rendez-vous, gare à la morsure ! #WeLovePhysicalMedia
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