Alors que l’antienne d’irréductibles climatosceptiques ne cesse de trouver échos sur des chaînes comme Fox News ou son équivalent français sauce Bolloré, les alertes du monde scientifique sur un dérèglement climatique bientôt hors de contrôle trouvent désormais échos auprès d’une nouvelle vague artistique. Au-delà des traditionnels films de fin du monde américains, En plein feu conjugue le grand incendie à un huis clos familial touchant. Avec En plein feu, le réalisateur bordelais Quentin Reynaud signe un long-métrage à la croisée des genres. À la fois film catastrophe, drame familial et œuvre prémonitoire des incendies des Landes qui ravagèrent les côtes l’été dernier, ce troisième long-métrage ne manque pas d’ambition. On épluche depuis le 30e Festival de Gérardmer ses qualités malgré une seconde partie un peu plus en retrait. Décryptage en vidéo !
Notre critique de En plein feu
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Quentin Reynaud, réalisateur et acteur
Quentin Reynaud a d’abord travaillé dans l’architecture avant de s’investir dans les arts dramatiques. C’est dans les années 2010 qu’il coécrit et réalise ses premiers court-métrages, Course en sac et Demain c’est la fin du monde. D’origine bordelaise, Quentin Reynaud a présenté son troisième long métrage au festival de Gérardmer, où il a rencontré un certain succès.
Filmographie
- 2022 : En plein feu
- 2020 : 5ème Set
- 2015 : Paris-Willouby
Bande-annonce de En plein feu
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