Autrefois confiné à une cible réservée, les productions de Bollywood s’exportent de plus en plus auprès d’un public curieux de découvrir d’autres tropes et biais scénaristiques. Présenté au NIFFF, Bhediya de Amar Kaushik reprend les ingrédients chers au spectacle indien, le fantastique en prime. Derrière son humour potache et ses histoires de lycanthrope au buste bien galbé, Bhediya cache pourtant un objet politique plus affuté qu’il y paraît…
Dans une région forestière du nord de l’Inde pour le travail, une petite équipe est missionnée par une entreprise pour aller convaincre les autochtones d’accepter un vaste projet routier. Seul bémol, cela implique d’abattre la forêt pour laquelle il cultive un respect depuis des générations. Bhaskar commence à se sentir bizarre après s’être fait mordre par un loup lors d’une scène rocambolesque que seul le cinéma indien est capable de produire. On vous explique comment Amar Kaushik parvient à subvertir une partie des codes traditionnels de Bollywood. Zoonose et lycanthropie dans un même film, c’est possible et ça s’appelle Bhediya !
Amar Kaushik est un acteur et réalisateur de l’industrie cinématographique indienne depuis 2008, année de la sortie de son film Aamir. Il a également joué des petits rôles dans les films No One Killed Jessica (2011), Go Goa Gone (2013), et Ghanchakkar (2013). Il a également été assistant réalisateur de films comme Sorry Bhai! (2008), I Am (2010), and Night (2017). Ces films les plus populaires sont Stree (2018) et Bala (2019). Bhediya est son dernier film à ce jour.
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Qu’est ce que j’ai ri avec Lucie pendant la séance ! A tel point que j’en ai perdu ma carte bancaire ! ^^
Heureusement que les âmes charitable de ce joyeux public helvétique m’ont permis de la retrouver ensuite, lovée entre deux sièges. Ca ne m’aura pas empêché de la perdre une semaine plus tard dans les montagnes pyrénéennes.🤷♂️
J’ai toujours eu beaucoup de mal avec le cinéma indien… Et plus particulièrement avec ceux de Bollywood ! 🙁