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Vous vous êtes procurés une configuration de son 3D (Dolby Atmos, DTS:X et/ou Auro-3D) et voulez savoir ce qu’elle a dans le ventre ? Vous désirez faire vivre à vos amis une expérience auditive qu’ils n’oublieront jamais ? Vous ambitionnez d’ébranler les murs de vos voisins ? N’en dites pas plus… Prenez simplement connaissance du présent top (classé par ordre alphabétique) !
Comme il fallait faire des choix, certains titres comme Mad Max: Fury Road, Oblivion, Pacific Rim, Robin des Bois (2018) ou encore San Andreas ont été laissés de côté. Néanmoins, soyez assurés qu’ils méritent tout autant votre attention.
Sommaire
13 Hours
Un mixage guerrier dynamique, ample et d’une précision d’orfèvre où ça explose et défouraille à tout-va. Les effets comme les ambiances s’invitent sur toutes les enceintes, le score est épique à souhait et les basses sont colossales. Même si efficace, la VF (à l’ampleur moindre et aux surrounds moins détaillés) ne peut rivaliser avec la VO qui nous plonge littéralement en plein cœur de l’action. De toute façon, ce n’est que sur cette dernière que la scène de hauteur s’active (des avions, des ventilateurs, des coups de feu, des explosions, des bombardements, des débris et j’en passe). Et ce serait dommage de s’en passer lorsque l’on sait que ce n’est pas la dernière à monter au front. Un top démo de tous les instants.
Édition US – Anglais Dolby Atmos – Français (québécois) Dolby Digital 5.1
Alita: Battle Angel
Dotée d’un sound design d’une rare richesse, d’une spatialisation de folie et d’une ampleur impressionnante, la VO Dolby Atmos se donne sans compter. Les envolées de la dynamique sont remarquables (l’assaut des Centurions et les runs de Motorball déploient une énergie incroyable), le paysage sonore prend vie de toutes parts (les ambiances débordent de partout), l’activité surround est constante, la scène aérienne fait montre d’un véritable engagement (la musique, des effets pyrotechniques, le bruit de la foule, un présentateur, etc.), le score de Tom Holkenborg (Junkie XL) est enveloppant au possible, les basses s’expriment avec force (dès le début avec le déchargement des ordures de Zalem) et les dialogues (parfois hors-champ) sont fidèlement reproduits. Un petit peu moins immersive et percutante, la VF reste d’une redoutable efficacité. Dans les deux cas, la bande-son est tonitruante.
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français DTS 5.1
Aquaman
Pour la finesse on repassera, mais le mixage Dolby Atmos est une démonstration de force d’une redoutable efficacité. Il bénéficie d’une (très) grande plage dynamique et déploie toutes les enceintes mises à sa disposition sans lâcher la pression. Les effets comme les ambiances émanent de toutes parts avec précision (les surrounds sont bien nourris), la partition de Rupert Gregson‑Williams transperce les écoutilles avec force, le canal LFE balance régulièrement des infra-graves surprenants, et les voix sont toutes intelligibles (en VO comme en VF). Quant à la scène aérienne, elle se déploie généreusement lorsque le récit le commande (l’immersion sous-marine, des coups de feu, des mouettes, des échos, des véhicules nautiques, la présence en hauteur de certains personnages et j’en passe).
Édition FR – Anglais et Français Dolby Atmos – Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Bad Boys II
Détaillé et enveloppant, ce mixage d’anthologie délivre une dynamique agressive, des ambiances prolifiques, des effets (surtout pyrotechniques) jaillissant de partout, un score tourbillonnant et des basses délirantes. Même si la VF est largement aussi impressionnante, la scène aérienne pleinement opérationnelle de la VO Atmos (la musique, des « jets » de voitures, des explosions, des débris et diverses ambiances) permet à cette dernière d’être plus sensationnelle encore.
Édition US – Anglais Dolby Atmos – Anglais et Français (parisien) DTS-HD MA 5.1
Blade Runner 2049
Que vous optiez pour la VO (Dolby Atmos) ou la VF (DTS-HD MA 5.1), il s’agit de deux pistes sonores d’anthologie. Bien évidemment, la première profite d’une meilleure ouverture arrière (ajout des surround back oblige) et d’une scène verticale loin d’être anodine (la pluie torrentielle, la neige, le vent, les ambiances de la ville, le vol des Spinners, etc.), mais la seconde est aussi bonne sur les autres composantes de ce mixage magistral au style épuré. Nous avons donc des voix claires, une dynamique à la puissance sans équivoque, une répartition des effets optimale (le bourdonnement des abeilles, la trajectoire des engins volants), un score électro-expérimental aux sonorités sourdes et aux envolées planantes (Hans Zimmer et Benjamin Wallfisch sont parvenus à respecter l’esprit de la partition originale de Vangelis) particulièrement ample, et des basses surpuissantes qui mettent régulièrement le canal LFE à rude épreuve. Un régal auditif de tous les instants !
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français DTS-HD MA 5.1
Le Chant du loup
Mixée au Skywalker Ranch avec un soin maladif apporté aux détails, la piste Dolby Atmos se pare d’une précision implacable pour nous faire ressentir comme jamais auparavant la vie à bord d’un sous-marin (deux en fait) et nous faire entrer dans la tête de l’Oreille d’or. Là où chaque son peut être synonyme de danger de mort, elle balance moultes informations acoustiques (la pression de l’eau sur la coque, le ronronnement des équipements navals, la fréquence des sonars, les ordres du commandement dans les haut-parleurs, le chant des dauphins, le déplacement des torpilles, le souffle des explosions) dans tous les recoins de la pièce d’écoute (la scène de hauteur est un membre à part entière de l’équipage) tout en se faisant discrète pour se fondre aux fonds marins. Chargé en infra-graves meurtriers et doté de dialogues toujours clairs, ce mixage d’anthologie finit de nous achever.
Édition FR – Français Dolby Atmos – Français DTS-HD MA 2.0
Fast & Furious: Hobbs & Shaw
Offensive (sans gratuité aucune), ample (la BO est particulièrement présente) et d’une répartition multicanale d’une formidable précision (la scène arrière libère moults effets et/ou ambiances à la fluidité exemplaire), la VO Dolby Atmos est une bande-son de démonstration où le travail sur l’immersion (entre les explosions, les débris, les engins aériens et la voix robotique de l’organisation terroriste Étéon, les canaux de hauteur ont de quoi faire) n’a d’égal que le punch des basses. Malgré un excellent doublage et une spatialisation soignée, la VF est anémique au possible (dynamique aux abonnés absents et canal LFE en retrait). En somme, elle est aussi plate que celle de Battleship… du même éditeur !
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français Dolby Digital Plus 7.1
Gemini Man
Pourvue d’une dynamique féroce (l’impact des coups de feu) et d’une spatialisation ultra-réaliste (les « objets sonores » suivent l’action avec une précision hors-norme), cette bande-son Dolby Atmos réservée à la VO (la VF est beaucoup moins physique et immersive) est une démonstration acoustique de tous les instants. L’activité multicanale est incessante, canaux de hauteur compris (passage d’un avion, « saut d’une moto », chutes de débris, balles qui ricochent et j’en passe), la musique est puissamment livrée, le canal LFE est extrêmement bien utilisé pour les graves et infra-graves (particulièrement remuantes), et les voix bénéficient d’une belle présence.
Édition UK – Anglais Dolby Atmos – Français (parisien) Dolby Digital 5.1
Gladiator
Une VO DTS:X assez dantesque qui parvient à magnifier (ou à redécouvrir) le déjà fabuleux mixage de l’œuvre (un Oscar tout de même). Entre la fougue de la dynamique, l’aisance de la spatialisation (la répartition et les déplacements des différents bruitages sont remarquables), l’enveloppement suscité par les ambiances, l’engagement des effets (le choc des glaives, le rugissement des tigres), l’activité des surrounds (le tournoiement d’une masse, la folie au cœur du Colisée) et de la scène aérienne (les flèches, les boulets de catapulte, les acclamations de la foule, la présence humaine au-dessus des sous-sols de l’arène, etc.), l’ampleur de la mémorable musique, la solidité à toute épreuve des basses et la clarté des voix, cette piste remasterisée nous offre un très grand spectacle sonore. Identique aux précédents Blu-ray, la petite VF se fait malmener même si elle reste riche (la base du mixage est là) et puissante.
Édition FR – Anglais DTS:X – Français DTS 5.1
Godzilla II: Roi des Monstres
Ultra-enveloppantes et pourvues de basses titanesques, ces pistes sonores Dolby Atmos qui secouent méchamment nous plongent en plein cœur de l’action. Les voix (qui peuvent se déplacer dans la scène sonore) sont claires, la partition de Bear McCreary est très aérée, toutes les enceintes sont généreusement exploitées avec des canaux surround débordants d’effets/ambiances et une scène aérienne fantastiquement omniprésente (des hélicoptères, des débris, des monstres, des avions, des orages, des déflagrations d’énergie), et la dynamique fait preuve d’une grande ardeur. De l’intense et du lourd !
Édition FR – Anglais et Français Dolby Atmos – Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Hunter Killer
Une piste Atmos d’anthologie qui engage régulièrement les canaux de hauteur (la pression de l’eau, les craquements de la coque, la réverbération des sons, les explosions et j’en passe) pour nous plonger dans les coursives du sous-marin. Et ce n’est pas tout puisque la plage dynamique est monstrueuse, la spatialisation soignée, la scène arrière suractive, le score de Trevor Morris bien réparti, les basses lourdes et les dialogues toujours clairs. Du « maousse costaud » qui décrasse les oreilles !
Édition US – Anglais Dolby Atmos
Il faut sauver le soldat Ryan
Une VO démentielle qui donne dans la démonstration technique pure avec une dynamique de fou furieux, une spatialisation musclée pour retranscrire au mieux la violence du conflit armé (le déluge des balles, les déplacements comme les cris des soldats), une scène arrière très sollicitée et des basses titanesques (le grondement des chars). Bien évidemment, mixage Atmos oblige, la sensation d’être enveloppé par les horreurs de la guerre (les tirs de mortiers, le souffle des explosions, les retombées de débris, les passages aériens des P-51 Mustang, etc.) est terriblement éprouvante. À son niveau, la VF ne démérite pas mais semble beaucoup plus éteinte. L’enfer du champ de bataille chez-soi !
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Anglais et Français Dolby Digital 5.1
Jumanji: Bienvenue dans la jungle
Certainement la piste Atmos la plus joueuse et attrayante que j’ai pu tester à ce jour. Disposant d’une énergie folle, d’une puissance affirmée, d’une spatialisation impeccable, d’effets pyrotechniques tonitruants (la poursuite à motos, la fuite en hélicoptère), d’ambiances palpables (la flore et la faune de la jungle, la « vie » au marché), d’une scène arrière engageante qui ne se repose pas, d’une dimension verticale assidue et surtout ultra-divertissante (le respawn des héros, les tambours angoissants qui préviennent du danger, l’envolée cartoonesque des PNJ frappés par le Dr. Smolder Bravestone, la musique Baby I Love Your Way lors des séquences de danse de combat, le rotor principal de l’hélicoptère, etc.), d’une partition large qui envoie sans perdre en nuances instrumentales, et de basses bien rondes (encore une fois les roulements de tambours mais aussi les bousculades des rhinocéros et les pas de l’éléphant), ce mixage d’anthologie est sacrément divertissant. Et bonne nouvelle, les prestations de la VF ne déçoivent pas car elles sont très proches de celles proposées par la VO (ne manque en fait que la dimension supérieure).
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français DTS-HD MA 5.1
Matrix
Si la VF reste malheureusement inchangée (et que dire si ce n’est qu’elle se fait pulvériser par la piste anglaise), la VO quant à elle s’est vue remixée pour un résultat proprement bluffant. Les voix sont toujours percevables, la dynamique est monstrueuse, la spatialisation est prodigieuse (la trajectoire des balles lors du bullet time sur le toit), les effets sont saisissants (le retentissement des percuteurs, les impacts sur les murs, les coups portés), les ambiances sont ultra-immersives (les conditions climatiques, les plongées d’un monde à l’autre, les passants lors du programme d’entraînement de la matrice, les bruits informatiques à bord du Nebuchadnezzar), les surrounds sont au taquet (c’est un festival lors des fusillades), la scène aérienne se fait régulièrement ressentir (la pluie, le tonnerre, la résonance des tirs, les pales d’un hélicoptère, la présence des Sentinelles au sein de l’hovercraft, etc.), le score « envoie du bois » et les basses sont viriles à souhait. Pour faire simple, ce mixage sonore nous enferme dans une bulle sonore d’une redoutable efficacité.
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français Dolby Digital 5.1
Le Mans 66
Récompensée à raison de l’Oscar du meilleur montage sonore, la VO Dolby Atmos est à ce jour la meilleure proposition acoustique disponible en 4K Ultra HD !!! Usant de sa verticalité dès que nécessaire (le vrombissement des moteurs, la voix des présentateurs, le survol d’une voiture, le passage d’un avion, les explosions, la pluie, le tonnerre) tout en engageant l’ensemble des enceintes horizontales avec une directivité tout bonnement incroyable (la spatialisation est fabuleuse), elle profite aussi d’une dynamique ultra-sportive, d’un score ample, de voix toujours audibles et de basses phénoménales (les rugissements mécaniques). Très démonstrative à sa hauteur, la VF nous laisse pourtant simples spectateurs là où sa consœur anglaise, qui parvient à monter plus aisément dans les tours, nous embarque au côté des pilotes; et croyez-moi sur parole, les émotions et sensations y sont décuplées. Ça dépote !
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Anglais DTS-HD MA 2.0 – Français DTS 5.1
Mission: Impossible - Fallout
Exceptionnelle dans toutes ses composantes, la VO Atmos est une tuerie. Le mixage est parfaitement équilibré, le sound design est minutieux, l’espace acoustique est pleinement exploité, la dynamique frappe (très) fort, les effets comme les ambiances sont aussi diversifiés que possible, les dialogues sont clairs, la scène arrière donne généreusement de sa personne, la couverture aérienne est pleinement engagée (le bruit de l’air, la réverbération des voix, les passages d’hélicoptères), la musique entêtante de Lorne Balfe est restituée avec grand soin et les basses sont fermes. Comme de bien entendu, la VF est littéralement écrasée par la puissance dévastatrice de la VO.
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français Dolby Digital 5.1
Mortal Engines
Ultra-engageante et pourvue d’une dynamique monstre, la piste Dolby Atmos délivre un spectacle acoustique redoutablement immersif et d’une richesse inouïe. La spatialisation occupe l’espace comme rarement (les sons voyagent régulièrement à 360°), les effets comme les ambiances (le bruit métallique incessant de la cité prédatrice et de Scuttlebug) sont diffusés avec précision et ampleur sur toutes les enceintes, les canaux surround sont extrêmement sollicités, la sphère aérienne est aussi inventive qu’intelligemment exploitée (Londres qui « dévore » la petite ville minière de Salzhakendes, le passage dans la « scierie », le vent, les engins volants, les éclairs provoqués par l’activation de MEDUSA, etc.), le score de Junkie XL (Tom Holkenborg) pulse comme il faut, les basses fréquences secouent méchamment (le bourdonnement constant des moteurs, les explosions, les coups de feu, les crashs, l’énergie quantique de la super-arme et j’en passe), et les dialogues sont parfaitement intelligibles. Testée sur l’édition française (c’est important d’avoir des amis à proximité de chez soi), la VF s’en tire admirablement bien malgré une puissance affaiblie et une scène sonore moins abondante.
Édition DE – Anglais Dolby Atmos – Français Dolby Digital Plus 7.1 (seulement sur l’édition FR)
Ready Player One
D’une richesse acoustique proprement hallucinante, ce mixage Atmos (DTS-HD MA 5.1 non testé) qui joue à fond la carte de la bulle sonore est là pour délivrer un mémorable moment de home-cinéma. Précis et immersif (une spatialisation de folie), il diffuse des effets retentissants (cf. la course motorisée) et ambiances enveloppantes (la « vie » virtuel au sein de l’OASIS) sur toutes les enceintes mises à sa contribution. Les canaux surround sont ainsi massivement utilisés (surtout lors de la bataille finale) et la scène aérienne délivre un nombre considérable d’informations (des objets volants, des pièces à glaner, un T-Rex, King Kong, des drones, une alarme, des projectiles divers, Mechagodzilla, etc.). Et puis les dialogues sont clairs, le score d’Alan Silvestri ne cesse de s’envoler avec une ampleur décoiffante et les basses possèdent une assise importante sans pour autant prendre le dessus sur le reste. En VO comme en VF, voilà une bande-son de démonstration.
Édition FR – Anglais et Français Dolby Atmos – Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Transformers: The Last Knight
À s’en exploser les tympans tellement c’est riche et puissant acoustiquement parlant, cette piste sonore Atmos qui casse la baraque est une expérience particulièrement immersive et savoureusement équilibrée. La dynamique fracasse tout sur son passage, les dialogues sont toujours clairs, la spatialisation est d’une incroyable précision, les effets pyrotechniques font sensation, les ambiances sont enveloppantes, la scène avant est en effervescence permanente, l’usage des canaux surround est généreux, les sons de hauteur ne manquent pas (des boules de feu, des moyens de transport volants, des échos, des déflagrations, etc.), la musique est ample et les basses fréquences colossales. Si la VF ne peut bien évidemment pas rivaliser, elle reste tout de même consistante et très énergique.
Édition FR – Anglais Dolby Atmos – Français Dolby Digital 5.1
Valérian et la Cité des mille planètes
Un mixage Dolby Atmos bruyant comme il faut où les ambiances, les effets et la musique passent par toutes les enceintes à l’aide d’une spatialisation optimale. Les voix sont cristallines, les détails sonores ultra-nombreux, l’activité surround très riche (la course‑poursuite de Valérian dans la Cité des mille planètes), les effets de hauteur mémorables (la chute des vaisseaux sur la planète Mül, la voix de l’Intruder, les annonces au Big Market, les passages d’engins spatiaux, les débris des explosions, etc.) même si pas sur-exploités, et les basses profondes. La VF n’est pas aussi enveloppante mais reste engageante et fortement dynamique. En passant par le disque français, la VO reste inchangée alors que la VF passe au format Atmos. Et si les dialogues sont un peu trop mis en avant, elle fait jeu égal avec la VO.
Édition US – Anglais Dolby Atmos – Français (parisien) Dolby Digital 5.1
Nyctalope comme Riddick et pourvu d’une très bonne ouïe, je suis prêt à bondir sur les éditions physiques et les plateformes de SVOD. Mais si la qualité n'est pas au rendez-vous, gare à la morsure ! #WeLovePhysicalMedia
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Avec cette sélection on a de quoi faire plaisir à ses oreilles 👍
N’est-ce pas ? 😉
Intéressant pour faire des démos effectivement ou regarder un film qu’on connait déjà bien en VF, mais malheureusement la majorité d’entre-nous regardent en VF.
Ce serait super de faire un top Bandes Son VF et plus utile je pense.
Sauf que c’est en VO que je visionne les films… Et quelques passages en VF après la séance pour en parler un peu dans mes tests. Mais tu as malheureusement raison, la majorité des consommateurs français se tournent vers les VF. 🙁
Sauf que tu fais des tests sur un site en français et que comme tu le soulignes , la majorité regarde en Français ( dont moi ) 🙂
Certes, mais un film se doit d’être visionné dans sa langue d’origine… Du moins pour moi. Il m’est impossible, ou presque, de regarder une œuvre étrangère en VF. Mais comme je ne suis pas égoïste, il y a toujours un petit mot pour parler de la piste sonore française. 🙂